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14 juillet 2021 3 14 /07 /juillet /2021 17:52

Puisqu'il m'arrive, parfois, de penser, pourquoi ne pas vous en faire profiter ?

Je suis protégé contre les puces, électronique et l'éthique.

La science cherche la plus petite matriochka.

Quelqu'un d'intelligent ne souhaite pas changer la société, il utilise celle qui existe.

Comme Dieu je vous regarde et cela me distrait.

Il devrait exister des sacs à pensées comme il existe des sacs à crottes.

Vous avez oublié la Nature, ce n'est pas réciproque !

Je fais semblant d'être réveillé.

Le pire pour un tueur en série serait le Paradis, pas l'Enfer.

Finalement mieux vaut rire de mourir que l'inverse.

Le seul abîme que vous contemplerez aura 6 pieds de profondeur

Je me demande si mes chaines sont des entraves ou des protections... ou les deux.

Je me suis déçu, j'aurais pu faire tant de mal.

Savoir parler permet de ne rien dire.

Ce que l'on peut dépasse ce que l'on veut.

La vie est un (D)CDD.

L'avenir ne sera pas un cyborg mais un hybride.

Devant toi je suis comme Dracula face au soleil.

Ce qui me frustre le plus c'est de ne pas parvenir à voir plus loin que l'éternité.

Je suis peut-être mal poli mais bien brillant.

Les familles se retrouvent autour de la table comme le troupeau autour du point d'eau.

Votre vanité vous aura perdu...

 

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24 octobre 2020 6 24 /10 /octobre /2020 17:29

Avouez que ça aurait été dommage de ne pas partagez ces remarques avec vous...

La société est une machine dont de nombreux rouages tournent dans le vide.

Vouloir lobotomiser un intégriste c'est vouloir couper les jambes d'un cul-de-jatte.

L'homo sapiens crée des machines à son image, sans la reconnaître.

Dans vide il y a vie, à moins que ce ne soit le contraire.

Un cauchemar a plus de chance de devenir vrai qu'un rêve.

Les machines s'humaniseront quand elles penseront être le sommet de l'évolution. Avant de devoir admettre que ce n'est pas le cas.

Il n'y a pas de saint vivant.

Vous donnez du mal vous ferait le plus grand bien.

Les victimes d'un tueur ne le hante pas, elles l'accompagnent !

La croyance est un bandeau sur les yeux, des bouchons dans les oreilles, des formules toutes faites dans la bouche autant qu'un lest retenant l'esprit dans la rivière croupie du temps passé.

Sans l'incendie je n'aurais pas perçu que j'étais de cendres. Sans les cadavres autour de moi je n'aurais pas compris que j'étais mort.

Les philosophes ne sont plus que des logomanes.

Même Satan n'a pas put m'impressionner, alors dieu...

Vous avez posé vous même la tête sur le billot, ne vous étonnez pas ce ce qui vous arrivera après.

Comment ''tuer le père'' si votre géniteur vous tua en même temps ?

Que vous sachiez que la nuit va tomber ne vous permettra pas de l'empêcher.

Les végans finiront comme les herbivores : à l'abattoir.

La chaîne qui retient la bête est de papier.

Proie et prédateur ne sont pas adversaires mais complémentaires.

Je suis une singularité dans un monde de banalités.

Si vous pensez que tuer est facile c que vous ne l'avez jamais fait.

Qui a un prix a rarement une valeur.

Qui veut l'égalité espère une Terre plate.

je ne veux pas de vous comme maître, encore moins comme esclave.

je suis le rêve du monstre.

Vous ne pouvez pas voir le tableau à l'intérieur duquel vous êtes.

Où est le mal de faire le mal ?

Assister à votre agonie fut un plaisir, votre putréfaction ne m'intéresse pas.

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12 octobre 2020 1 12 /10 /octobre /2020 08:00

La nuit est une véritable amie, elle sait embrasser autant que mordre, étreindre autant que griffer.

Mais le passé n’apprend rien sinon à ne plus l’écouter.

L’être humain sait mentir à son semblable mais surtout à lui-même, sa première qualité.

Un homme riche connait la vie et ses concitoyens, la valeur de la première et le prix des seconds ! Il vend l'une en achetant les autres ; à moins que ce ne soit le contraire.

Chercher le pire c’est regarder la lumière, se dire qu’elle existe et n’est pas inaccessible.

Un désert de ténèbres avec, en son centre, un oasis de noirceur.

À lutter contre soi l’on ne peut que perdre.

La peur est matrice, la violence, dérivation de la vie, la folie, désir de s’oublier.

Poser les mots en miroir, que s’y voie qui l’ose !

Certaines vies ne sont qu’une lente montée à l’échafaud. Il y a du plaisir à apprécier chaque marche, à deviner le bourreau en sachant qu’il guette dans notre regard une crainte qu’il ne trouvera pas. Une satisfaction à regarder la foule et se foutre d’elle, de son avis, de sa présence.

Tuer est une façon d’exister, de combattre le néant intérieur en se remplissant de sensations toujours décevantes, c’est une quête d’un absolu introuvable sinon dans la mort.

La conscience est sans innocence, des mots rimant mais contraires.

Les cités sont nos cages modernes. Ne nous étonnons pas que la nature qui s’y forme soit une caricature de la vraie.

Hurler est parfois notre seule chance de briser le suaire de panique qui nous étouffe.

Je me parle d’une autre vie, la mienne !

Pour certains la violence donne du relief à un monde qui devient imperceptible.

La croix que vous avez autour du cou, elle est réelle n’est-ce pas ? Elle vous protège des vampires, des loups-garous mais aussi, surtout, des monstres intérieurs aux gueules pleines de questions acérées !

La main de la normalité guide sur le sentier salvateur des explications toutes faites.

Apprendre c’est fermer une porte dans son dos. C’est pourquoi il est inutile de penser au retour.

Si la science ne peut pas tout expliquer, la religion ne sait pas tout solutionner.

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2 octobre 2020 5 02 /10 /octobre /2020 08:00

La lucidité finira par céder à son tour quand je serais allé au bout de moi-même.

Quoi de plus effrayattirant que vouloir éclairer de lucidité les mots du passé?

La lucidité est le pire de tous les maux, et pourtant elle n'était pas dans la boîte de Pandore, à moins que personne n'ait osé l'en sortir.

Je perdrais ma lucidité quand je serais sûr d'être ce que je voulais devenir.

La lucidité est l'opposé de l'optimisme.

Parfois ma lucidité me fait m'interroger sur mes pensées.

L'école c'est apprendre à ne pas penser, c'est apprendre à afficher une contenance pour remplacer une improbable personnalité et une impossible lucidité.

Le poignard sacrificiel de la lucidité et de la nécessité perça mon cœur, le sang qui en coule est l’encre qui forme mes mots, mon esprit n’est qu’un intermédiaire et mes mains un moyen.

La lucidité empêche d'agir plus que l'inconscience.

La lucidité doit se cacher derrière un anodinat discret.

La lucidité tue l'inconscience qui seule permet d'obtenir ce que l'on veut.

L’enfer véritable guette qui goûte au fruit de la connaissance, à sa pulpe de lucidité. Le paradis est la drogue de l’oublié, la plainte laissant dormir les yeux ouvert.

L’œil de la folie est unique, car dans l'autre se tient, tapie, la lucidité.

Je rêve de labourer par ma lucidité la société pour y semer les graines de ma pensée avant de faucher les esprits faibles et laisser la place aux autres.

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10 septembre 2020 4 10 /09 /septembre /2020 08:00

L'asservissement est doux quand il est nécessaire, être esclave pour être malgré tout !

Parfois j'ai du mal à différencier le concret du papier.

L’éternité est le mot le plus menaçant que je connaisse. J’en perçois le sens, si Dieu existait et qu’il sache qu’ainsi se nomme sa cage je comprendrais qu’il ait créé l’homme pour se distraire.

L’univers serait-il destiné à capturer l’éternité faute de pouvoir l’engendrer ?

Un puits ? La vie n’est que cela, d’un orifice à l'autre, de la chair à la terre.

La vie est si belle quand elle paraît possible.

Jamais je n’aurais puisé dans la mort d’un innocent (?) la force de mériter la réalité.

Mon costume est déchiré, je me vois au travers.

De l’ombre et de la lumière il importe de connaître la première pour apprécier la seconde.

L’imbécile regarde le doigt mais le crétin regarde la lune, moi j’observe le ''sage''.

La souffrance est un acide incitant à chercher un soulagement dans un moule d’absence ; pouvoir la supporter c’est découvrir que l’inutile seul est rongé, que resterait-il en VOUS sans lui ?

Une réalité attirante à le visage du pire.

L’embryon d’esprit flottait dans son jus comme un steak dans une poêle attendant la flamme libératrice.

Je suis une victime revendiquant sa culpabilité, sa responsabilité j’en suis moins sûr.

La durée différencie une momie d'une chrysalide.

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3 septembre 2020 4 03 /09 /septembre /2020 08:00

Quel est ce cadavre que je garde en moi, le préservant à force de pensées, momie compagne d’un désespoir devenu drogue.

Tueur j’aurais couru après des expériences nouvelles sans voir que je n’étais qu’un disque rayé tournant dans le vide.

L’immensité est aussi source d’immobilisme que d’être dans une cage trop étroite.

Je suis de l’autre côté mais est-ce le bon ?

L’hallucination sourit de mon incapacité à croire en elle.

Le maquillage tient mal sur une chair qui se liquéfie.

Combien de fois me faudra-t-il mourir encore ?

Le pire existe parce qu’il est nécessaire.

Le puits se creuse en soi quand la haine s’installe.

Affrontant la lumière, j’ai découvert une noirceur qui ne peut plus me vaincre.

Refuser un souvenir le rend méchant, dans la nuit de la terre le cadavre dont la mort ne veut pas est maudit entre tous

Au moins aurais-je une vie posthume.

Accorder à chacun ce qu'il mérite est une menace !

En putréfaction toutes les âmes retournent à la boue dont elles crurent être sorties.

Aucun poison n’est assez violent pour mon plaisir.

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11 août 2020 2 11 /08 /août /2020 08:00

Des capacités inutilisées génèrent une souffrance, et employées... aussi. Mais elle aussi est utilisable.

La vraie jouissance ravage tout et abandonne l’âme hagarde sur une rive qu’elle pensait, espérait, inaccessible.

La Vie nous manipule par le plaisir, le piège n’est pas d’y céder mais de s’y perdre alors que s’y trouver est possible.

La vie est sortie d’un bouillon infâme, condition nécessaire à son apparition, la conscience n’a pas émergée de sa fange originelle, elle flotte dans un milieu amniotique difficile à imaginer, la naissance est proche, je sens les contractions.

Inutile de s’offrir à une force pouvant prendre ce dont elle a besoin.

La communication est une idole rémunératrice basée sur la résurgence de l'instinct grégaire causée par l'angoisse du monde qui s'approche.

Un cadavre est un parfait engrais pour le champ du délire.

Pas de différence entre victimes et bourreaux. Pantins au service d’une cause qu’ils ne comprendront jamais parce que rien en eux n’est assez solide pour admettre un tel savoir.

La croyance s’impose quand le savoir devient inaccessible.

Le savoir veut parfois au-dessus de ses moyens.

Nous sommes des enfances, condamnées à disparaître sans nous éteindre, ou à nous éteindre sans disparaître, laissant les traces de nos vies pour que d’autres, nous, adultes, apprenions de ce par quoi nous venons de passer.

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3 août 2020 1 03 /08 /août /2020 08:00

Je suis un cobaye dans un labyrinthe fuyant la sortie quand toutes les voies y conduisent.

L’obstacle n’est hostile que pour celui qui s’arrêtant à ses pieds en fait une idole.

La victoire du minéral seule apportera la paix.

L’abattoir est déjà ouvert, ceux qui lui sont destinés regardent ailleurs pour oublier que la vie y mène toujours.

La vie n’apporte rien de bon, la vie humaine encore moins, ces mots forment un couple impossible sans autre progéniture que monstrueuse, mais viable.

L’illusion est une idole sans pouvoir.

Les grains de sable ont-ils une importance plus grande qu’une vie que le temps regarde couler avec indifférence.

L’esprit humain seul est capable de concevoir cela, et pire, tellement pire. J’en sais quelque chose.

Les émotions retiennent dans l'ambre du passé.

La peur gît devant moi que je crains de la caresser, non qu’elle pourrait me mordre mais parce qu’elle pourrait me lécher la main et se mettre à ronronner.

L'esclave sans chaîne ne sait plus se définir.

La lâcheté est morte dans mes bras, son cadavre tombe en poussière et m’oublie.

Un jour rats, fourmis et termites se partageront le monde.

L’âme fait la différence entre le minéral et l’animal, une menace venant de demain.

Un écrivain se voit omnipotent, non comme un dieu mais comme le nourrisson qui ne connaît qu’un monde à sa mesure censé assouvir ses moindres désirs.

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13 juillet 2020 1 13 /07 /juillet /2020 08:00

Pour supprimer la mort le mieux c’est de supprimer la vie !

Se consumer pour trouver le repos !

La folie meurtrière est devenue une idole, ainsi elle paraît moins dangereuse, moins susceptible de s’incarner.

Certaines réponses nous sont inaccessibles, tant mieux !

L’enfance meurt lentement quand il ne reste rien d’autre en soi.

La souffrance est le salut pour qui veut rester vivant.

Le pire est fragile, il demande que l’on croit en lui constamment.

Un cri est un océan qui n’est pas infini !

L’histoire ne repasse pas les plats, dès lors pourquoi ne pas se servir dans l’assiette d’autrui ?

Dans la fenêtre du possible le risque est intolérable.

Tant d’images superposant le réel à l’imaginaire firent que je pris le premier pour le second.

Un sourire est plus effrayant qu’une grimace, un coup de poing plus sournois qu’une caresse.

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2 juillet 2020 4 02 /07 /juillet /2020 21:07

Le pire sera quand je devrais faire semblant d'être anormal.

L'anormal fait progresser le monde.

Même mon anormalité n'est pas normale.

L'égalité est une ambition, pas une réalité.

Certains ont une ambition au-dessus de leurs moyens, moi c'est le contraire.

J’aurais aimé être le meilleur en tout, ma seule ambition désormais c’est d’être le moins bon en rien.

Sans ambition l'homme peut se remettre à quatre pattes.

Le génie consume celui qui le possède et corrompt ceux qui l’ambitionnent.

Vous êtes des ombres, je suis la lumière qui va vous dissiper.

Dans l'ombre la Bête regarde les humains (re)venir à elle.

Le mal est l’ombre de l’humain projetée par sa peur d’ouvrir les yeux.

Ce n’est pas en se brisant qu’une âme se perd mais en voulant maintenir sa cohérence.

Chacun dispose d’une graine de démence qui meurt faute d’un terrain favorable à son éclosion

Le pire est fragile, il demande que l’on croit en lui constamment.

Les murs ne protègent que de l’extérieur !

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Bienvenue sur ce blog ! Vous y découvrirez mes goûts, et dégoûts parfois, dans un désordre qui me ressemble ; y partagerez mon état d'esprit au fil de son évolution, parfois noir, parfois seulement gris (c'est le moins pire que je puisse faire !) et si vous revenez c'est que vous avez trouvé ici quelque chose qui vous convenait et désirez en explorant mon domaine faire mieux connaissance avec les facettes les moins souriantes de votre personnalité.

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