Pour supprimer la mort le mieux c’est de supprimer la vie !
Se consumer pour trouver le repos !
La folie meurtrière est devenue une idole, ainsi elle paraît moins dangereuse, moins susceptible de s’incarner.
Certaines réponses nous sont inaccessibles, tant mieux !
L’enfance meurt lentement quand il ne reste rien d’autre en soi.
La souffrance est le salut pour qui veut rester vivant.
Le pire est fragile, il demande que l’on croit en lui constamment.
Un cri est un océan qui n’est pas infini !
L’histoire ne repasse pas les plats, dès lors pourquoi ne pas se servir dans l’assiette d’autrui ?
Dans la fenêtre du possible le risque est intolérable.
Tant d’images superposant le réel à l’imaginaire firent que je pris le premier pour le second.
Un sourire est plus effrayant qu’une grimace, un coup de poing plus sournois qu’une caresse.