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D'après le film ''Hanna'' écrit par Seth Lockhead et David Farr – 2019 – NBC – amazonstudios
Roumanie 2003. L'horloge marque 14 h, 60 minutes plus tard une autre indique 15 h, jusque là rien d'extraordinaire.
Erik Heller s'introduit dans les vestiaire, y vole un uniforme et le passe d'un employer dont il se sert pour entrer dans la
maternité et voler un nourrisson avant de s'enfuire. Les
gardes sont après lui mais il parvient à rejoindre ma voiture qui l'attendait.
Avec sa complice ils se planquent dans un motel mais l'armée ne tarde pas à les retrouver, il faut courir, vite. Le bébé pleure alors qu'ils ont volé une voiture et qu'un hélicoptère se rapproche puis ouvre le feu.
S'ils échappent aux premiers tirs ce ne sera pas le cas ensuite et leur véhicule finit encastré dans un arbre. La femme est la seule victime.
Jusqu'à ce que la voiture explose.
Mais Heller a pu s'échapper et s'enfonce entre les arbres avec l'enfant.
Bien des années plus tard, dans une autre forêt, Hanna tire
sur la biche, la tue, la découpe calmement malgré son jeune
âge et la neige qui tombe, quand un homme arrive derrière elle et l'agresse.
Erik lui fait remarquer qu'il aurait eu le temps de la tuer avant qu'elle se rendre compte de sa présence, même si, en corps à corps elle se révèle capable de le battre. Au cours du repas il la fait répéter aussi bien sa connaissance de diverses langues que des arts divers. Elle doit pouvoir faire face à n'importe quelle circonstance.
Chaque jour il l'entraîne, aux sports de combats, au tir, à s'endurcir et quand elle demande pourquoi elle ne doit pas dépasser les marques rouge il répète que c'est dangereux, les hommes qui ont tué sa mère ne sont pas loin. Un jour il ne sera plus là pour la protéger et elle devra se débrouiller.
Elle ne doit pas dépasser les marques, soit, mais si elle passe par les arbres ?
Hanna a dépassé la limite, elle traverse la forêt et tombe sur un jeune bûcheron, Arvo, en train de tronçonner des arbres.
Elle ne comprend pas un mot de ce qu'on lui dit, elle ne parle pas polonais mais avec un peu d'anglais il est possible de se comprendre, un peu, et avec des barres chocolatées aussi.
Bien sûr elle lui demande de ne pas parler d'elle. Erik sait qu'elle a quitté la zone mais vivre seule avec son ''père'' lui pèse, discuter avec Arvo est un dérivatif auquel elle ne peut dire non, sans parler des sneakers. Et faire un tour en moto est tentant aussi.
Arvo l'emmène jusqu'à une grande antenne relais immense servant à transmettre les signaux des téléphones et d'internet. Deux choses qu'elle ignorait totalement. Les deux jeunes gens s'entendent bien jusqu'à ce que des hommes avec des chiens arrivent et lui tirent dessus.
Hanna a goûté au monde et elle se sent prête à l'affronter. La première chose à faire est de trouver la femme qui a tué sa mère. Celle-ci est déjà au courant de l'incident, sans certitude mais avec assez de soupçons pour qu'elle veuille en savoir plus, par acquit de conscience.
3 hélicoptères se rapprochent de la grotte où vivent Erik et Hanna, il faut partir, encore. Les soldats sont partout avec autorisation de tuer l'homme, mais pas la fille. Il est temps de se séparer, ils savent où et quand se retrouver mais Hanna surprend un message et décide de se laisser prendre. Face aux 4 soldats elle paraît une adolescente qui ne comprend pas ce qui lui arrive.
Semble !
Au moins ainsi a-t-elle sauvé son père. Elle qui voulait savoir d'où elle venait...
Une jeune et jolie personne, jusqu'à ce qu'on la connaisse un peu mieux. Alors elle n'en est que plus intéressante !
반도 Bando – Yeon Sang-ho – 115' - 2020
La voiture passe sans s'arrêter devant le cadavre, qui pourtant est animé, et continue son chemin, à l'intérieur Jung-seok conduit, il est capitaine de l'armée et conduit la famille de sa sœur pour la mettre à l'abri. Un homme les arrête et les supplie de les prendre à bord lui, sa femme et sa fille, mais le militaire ne s'arrête pas, le danger est trop grand.
À la télévision américaine un ''expert'' évoque le virus responsable de la transformation des morts qui se passe en Corée, les rumeurs sont nombreuses, les questions aussi, en revanche les réponses restent introuvable.
En Corée du Sud un navire embarque autant de gens qu'il le peut, une population qui va s'entasser où elle peut. Il est détourné vers Hong Kong alors qu'à bord un infecté se manifeste causant une panique bien compréhensible.
Le capitaine intervient, en ''tue'' un mais dans la cale des dizaines d'individus sont contaminés, d ont le fils, Dong-wan, de sa sœur alors qu'elle ne l'est pas. Mais elle ne veut pas quitter son rejeton...
Que feriez-vous à sa place ?
Le spécialiste à la télévision annonce qu'il n'y a qu'une chose à faire, confiner la Corée, pour 4 ans !
À Hong-Kong, des bandes s'organisent, l'une d'elle se voit confier la mission d'aller récupérer un camion, et son contenu, de grande valeur, avec la promesse de gagner 2;5 millions de dollars au retour. Jung-seok en fait partie, survivre est compliqué.
Le bateau cette fois va dans l'autre sens, à son bord les hommes s'organisent, préparent leurs armes, ils en auront sûrement besoin. Le chef les avertis, ils auront trois jours pour remplir leur mission et revenir avec leur objectif et qu'importe s'ils ne sont pas tous au rendez-vous.
Un canot pneumatique est mis à l'eau, il se rapproche d'Incheon, du moins de ce qui en reste, et ce ne sont que des ruines, des véhicules abandonnées, le silence, et sur le sol une demande !
Du quatuor de mercenaires comprends une ancienne habitante de la ville, elle était taxi, et puisqu'une voiture fonctionne encore autant l'utiliser ?
Mais la lune se lève et leur montre que le danger n'a pas disparu, au contraire, il attend, il les attend !
En attendant le camion qu'ils cherchaient est là, bien sage, et rempli de dollars américains, comme prévu. À l'intérieur le chauffeur essaie de les mordre, sans y parvenir, bientôt suivi d'une horde de zombis qui se lance à leurs trousses.
C'était du gâteau s'exclame un des hommes en riant, la preuve va lui prouver que non.
Loin de là !
Des fusées éclairantes les contraignent à l'accident, les morts-vivants se précipitent sur Jung-seok, qui ne doit son salut qu'à l'intervention d'une voiture, conduite par deux enfants Joon-I et Yoon-jin qui ne semblent pas effrayés ni craindre de rouler sur les infectés qui, s'ils sont dangereux, sont idiots et se laissent distraire par une voiture télécommandée alors que deux autres se cachent dans le camion. Celui qui attendait dans la cabine n'aura pas de chance avec les survivants qu'il rencontrera, quand à celui qui se cache à l'arrière il sera vite repéré.
Des survivants se sont regroupés, ont construit un fort où ils sont à l'abri et essaient de vivre comme ils peuvent en ne craignant pas d’éliminer des concurrents, il n'y a pas de quoi vivre pour tous.
Les temps sont durs et comme les distractions sont rares les prisonniers servent de gladiateurs et doivent lutter contre des contaminés pendant 120 secondes, les survivants gagnent quelques jours de vie.
Jusqu'au prochain combat.
Les enfants conduisent leur trouvaille jusque dans le refuge de leur famille, avec leur mère Min-jung, leur grand-père, Elder Kim, un ancien militaire.
Un groupe qui n'a rien à voir avec l'autre. Une famille d'un côté, des individus capables de tout de l'autre.
Le hasard, aidé par le scénariste, faisant ''bien''les choses, Jung-seok retrouve la femme qu'il n'avait pas voulu prendre dans sa voiture. Quand il le lui avoue elle ne paraît pas lui en vouloir, 31 voitures passèrent devant eux sans les prendre.
Mais survivre veut dire combattre, prendre des risques, la mère et Jung-seok ont quelque chose à faire, récupérer le camion qui pourrait être leur porte de sortie et qui se trouve dans le camps des méchants...
les zombies se sont regroupés et marchent.
Jung-seok et Min-jung parviendront-ils à quitter la péninsule avec les enfants et le père de cette dernière, avec ou sans l'argent ?
Bien sûr je ne vais pas vous le dire. Après Train to Busan Yeon Sang-ho, utilise d'autres moyens de locomotions pour ses zombies, et surtout pour les humains qui, mais comment en être surpris, sont bien pires.
S'il y a une suite il pourrait employer des vélos ou des trottinettes...
Un film d'horreur (Si ! Si ! ) avec beaucoup d'actions et un virus inconnu, si cela vous rappelle quelque chose... peut-être un avertissement sur ce qui nous attend.
Espérons.
Would you like to have dinner together - 저녁 같이 드실래요 (jeonyeok Kati Deusilraeyo) – dirigé par Ko Jae-hyun – écrit par Kim Joo d'après le webcomic de Par Shi-in – MBC – 2020 – 32 épisodes
Un taxi roule, Woo Do-hee à son bord se souvient du début de ''petit-déjeuner chez Tiffany'', ayant quitté le véhicule elle regarde la vitrine d'un joaillier
en mangeant un croisant et buvant du café, comme dans le film. Son petit ami interrompt sa rêverie, ils ont rendez-vous pour aller au restaurant où il lui coupe sa viande, l'inonde de poivre et lui en tend un morceau.
Comment peut-elle refuser ?
Les motos font la course en pleine ville, jusqu'à ce que la première heurte une voiture forçant son pilote à continuer à pieds. mais il n'a pas de chance et
tombe, il est sur le point d'être rejoint, mais sort un couteau et menace son poursuivant en lui demandant de lui ramener sa petite amie avant de se précipiter l'arme en avant, pour se faire immobiliser par le docteur Kim Hae-kyung sous les bravos des spectateurs.
Woo Do-hee téléphone à sa mère qui se plaint, comme d'habitude, du comportement de son mari qu'elle soupçonne de rencontrer la patronne d'un bar. Peu importe, c'est un jour important pour Do-wee, elle emménage dans son nouvel appartement. Quoi qu'il en soit elle est déçue que son petit ami ne soit pas là et ne l'appelle pas bien qu'elle le devine proche de lui faire sa demande, ne lui a-t-il pas envoyé la photo d'une bague ?
Pour gagner sa vie elle produit une émission de télévision sur 2N BOX mettant en scène des gens racontant leurs problèmes.
La directrice voudrait passer à autre chose, de plus sérieux, mais c'est difficile.
Pour faire une surprise à son fiancé elle prend l'avion pour l'île de Jeju à l'occasion de l'anniversaire de celui-ci. La compagnie l'ayant surclassée elle se retrouve en business, à côté du Dr Kim. C'est la première fois qu'elle profite d'autant de confort et se demande à quoi servent tout ces boutons sur les accoudoirs. À l'arrivée elle profite aussi d'un nouveau modèle de berline. La journée se présente idéalement, elle est sûre qu'une demande en mariage l'attend.
Kim a rendez-vous avec une patiente, visiblement elle a besoin de ses conseils pour remonter la pente après une rupture qu'elle supporte difficilement, rien qui surprenne le docteur qui l'observe et analyse son comportement.
Mlle Woo arrive, heureuse de surprendre son ''futur'' mari, la surprise sera pour elle, et mauvaise puisqu'elle le surprend embrassant une autre femme, Eun-seo, l'hôtesse qui s'occupa d'elle pendant son vol.
Comme quoi ce que l'on attend ne se produit pas toujours !
C'est peu de dire qu'elle est mécontente et n'hésite pas à le montrer en balançant son ex dans l'escalier du restaurant, vous avez deviné que c'est celui où déjeune le Dr Kim et sa patiente.
Le futur ex essaie de s'expliquer, de lui dire comment la voir était pénible, manger avec elle un devoir assommant, quand à la bague, la photo ne lui était pas destiné.
Elle prend sur elle, et le champagne aussi, faut pas gâcher !
De loin Kim la regarde et devine ce qu'elle éprouve, comme il le fait toujours. Sa partenaire de repas lui suggère d'aller aider cette jeune femme, n'est-ce pas son devoir en tant que psychiatre ?
Difficile de dire non quand toute l'assistance l'encourage et l'applaudit.
Encore une fois.
Do-hee est parti sur les chapeaux de roues mais le docteur profite d'un taxi qui passait par là.
S'étant mépris sur les intentions de la jeune femme qu'il voyait au bord de l'eau il se précipita vers elle, avec pour résultat que c'est lui qui tomba à l'eau, se blessa à la tête, et fini à l'hôpital de l'île.
Mais chacun repart de son côté... du moins devrait le faire. Avant même que le Dr revienne vers Do-hee pour lui proposer de dîner en sa compagnie, lui aussi sort d'une rupture dont il ne s'est remis qu'en apparence.
La logique voudrait que chacun soigne les plaies de l'autre et qu'au final ils se rapprochent d'autant que pour les aider la patronne de Do-hee lui propose une nouvelle émission, en compagnie d'un psychiatre...
Pas de crime en vue ni de tueur en série guettant ses proies, ça change, et ça repose.
À condition que ça ne dure pas trop.
악의 꽃 (Akui Khot) – dirigé par Kim Cheol-kyu – écrit par Yoo Jung-hee – tvN – 2020 – 16 épisodes
Être dans une piscine est agréable, mais y être attaché au fond, beaucoup moins, heureusement,
juste à temps intervient une jeune femme, elle n'est pas pressé de sauver la victime puisqu'elle prend le temps de l'embrasser.
Mais s'embrasser n'est pas tout, il est temps de partir pour la jeune femme, Cha Ji-won, qui doit passer récupérer ses affaires à la laverie avant le
repas prévu le soir même avec les parents de Baek Hee-seong, son mari et le père de Eun-ha, Gong Mi-ja et Baek Man-woo forment un couple désagréable
qui semble n'aimer ni leur bru, ni leur petite fille. Qu'importe, c'est le 39ème anniversaire de papa alors Eun-ha est contente.
Le cadeau est à la hauteur de l'événement, un bracelet en cuir avec ses initiales marquées dessus.
Les relations entre Hee-seong et ses géniteurs sont tendues, et manque de chance, ou pas, Ji-won doit partir pour des raisons professionnelles. Elle est policière au centre de Gangsu, elle laisse Hee-seong
et ses parents discuter, eux qui trouve cette union improbable entre une policière et un homme dont le passé est...
ce qu'il est. Eux connaissent l'un et l'autre, ils savent que les émotions et les sentiments lui sont étrangers même s'il s'adapte aux attentes de son épouse.
Kim In-seo a 12 ans, il a été retrouvé blessé dans un escalier, en sortant de son évanouissement il accuse son père d'avoir essayé de le tuer en le poussant alors qu'il le forçait à monter et descendre pour perdre du poids.
Le père nie, certes il fit faire du sport à son fils mais s'absenta après le coup de fil d'un ami, en le laissant seul. Ji-won le pense innocent après avoir observé ses sandales et l'état de ses chaussettes.
Un père voulant tuer son fils, voilà qui attire Kim Moo-jin journaliste spécialiste de ce genre de faits divers, en discutant avec les policiers il en vient à évoquer un homme ayant tuer 7 personnes avant de les enterrer dans les bois, un artisan du métal, le métier qu'exerce Hee-seong justement...
Rentrée chez elle Ji-won aime parler de son métier avec son mari, elle fait donc allusion à son affaire et s'étonne du comportement de la mère de In-seo qui affirme que tout va bien dans sa famille.
D'avoir évoqué l'affaire de Yeonju amène Kim Moo-jin à se repencher sur l'affaire qu'il suivit à l'époque, le coupable était un certain Do Min-Seok et s'est suicidé après les meurtres.
Il s'interroge alors que M. Baek rencontre sa mère pour lui demander d'appeler Ji-won, il veut qu'elles ne se rencontre plus jamais, Mme Gong n'est pas aussi doué que son fils pour masquer ce qu'elle est et Ji-won, policière, sait observer et analyser les gens.
En attendant elle poursuit son enquête et note que l'attitude de la mère d'In-seo est bizarre, alors que son collègue, l'inspecteur Choi, enquête sur le père et découvre qu'il entretenait une liaison et pensait au divorce en s'inquiétant du montant de la pension alimentaire qu'il devrait verser. alors que Kim Moo-jin rend visite à l'atelier de Baek Hee-seong, Ji-won lui en donna l'adresse.
Il entre et se fige car il voit devant lui Do Hyun-su, un ami d'enfance sur lequel coururent nombre de rumeurs. N'y eut-il pas un meurtre, celui de Li-jang, après qu'il eut disparu, 18 ans plus tôt de leur village de Gagyeongri ?
Tous, police comprise, pensant qu'il était le meurtrier. Kim Moo-jin aussi probablement et Do/Baek ne peut pas le laisser se rendre à la police, celle-ci n'ayant pas arrêté ses investigations pour le retrouver, il est vrai que l'arme du crime se trouvait dans son sac à dos.
N'était-il pas le fils du tueur en série Do Min-seok ? Bon sang ne saurait mentir dit-on, mais quand il est mauvais, est-ce encore vrai ?
L'inspecteur Choi doit se rendre à l'évidence, le père n'était pas coupable, du moins d'avoir poussé son fils dans l'escalier, le ''responsable'' étant bien différent mais si son fils l'accusa ce fut pour protéger sa mère. Finalement le père n'était pas innocent non plus et les inspecteur Choi et Cha avaient raison tous les deux.
Kim Moo-jin finit le thé offert par son vieil ''ami'', il est temps pour lui de partir, dommage que ce dernier le soupçonne de vouloir le dénoncer ce qu'il trouve déplaisant, de plus il a un vieux compte à régler avec le journaliste, et une promesse à tenir, 18 ans après, mais ça c'est un détail.
D'autres affaires vont se succéder sur lesquelles l'inspectrice Cha va enquêter et de ce fait s'intéresser de plus en plus à une certaine affaire...
Les personnages sont à leurs places sur l'échiquier, prêts à interagir, chacun tenant son rôle, en jouant un, au moins, mais aussi susceptible d'en changer, je l'espère pour l'avenir de ce drama. Comme d'habitude je n'en ai vu que le premier épisode et j'ai hâte de découvrir les autres. Les psychopathes sont là, nous le savons, mais sont-ils pires que les gens ''normaux'' ?
Mais je ne suis pas là pour parler de moi !
Psycho but it's Okay - 사이코지만 괜찮아 (Saikojiman Gwaenchancha) – dirigé par Park Shin-woo – écrit par Jo Yong – 2020 – tvN
Moon Kang-tae est un jeune homme travaillant comme infirmier dans un centre psychiatrique, en toute circonstance il sait garder son calme, probablement par l'habitude qu'il a de s'occuper de son frère ainé, Moon Sang-tae, autiste.
Instable bien que toujours bien noté par ses collègues et supérieurs il change d'établissement souvent, 15 au total en presque 10 ans.
Ko Moon-young est une autrice de talent et à succès de contes pour enfants, en affichant une personnalité asociale, égocentrique et moqueuse, sa beauté et sa classe faisant passer son comportement.
Son côté sorcière, un personnage qu'elle affectionne dans ses histoires, étant aussi fascinant qu'intimidant. Son fond de cruauté n'étant pas le moindre de ses charmes, la preuve,
alors qu'une jeune fan, est prise en photo sur ses genoux elle fait tout pour l'effrayer jusqu'à ce que la gamine parte en courant sous le regard effaré de sa mère.
D'ailleurs l'homme qui arrive, M. Lee (un parent) Sang-in le PDG de la maison d'édition SangSangESang, lui affirme
qu'elle ressemble à Morticia, un compliment pour elle. Mais elle doit repartir, avec le couteau qui vient de lui égratigner la peau.
Kang-tae s'habille, l'occasion de nous montrer autant ses abdominaux que ses plaies sur les épaules. Qu'importe si une patiente lui vomit dessus, il reste souriant et serein.
Un malade chasse l'autre, un homme, M. Kim, vient d'être admis, surexcité et soupçonné d'avoir voulu empoisonné sa fille, Go-eun, avant de se suicider, l'enfant ayant vomi (encore!) elle s'en est tirée.
Moon-young arrive pour sa journée de promotion avec des enfants alors que son employeur fait tout pour cacher les appel de l'hôpital psychiatrique, il doit, en tant que tuteur,
donner son accord pour une opération sur Ko Dae-wan. L'infirmière, Nam Ju-ri, se plaint de la difficulté de joindre M. Lee, l'autrice, qui assiste à la conversation, lui suggère de venir en personne.
Détail : le malade en question est le père de Mlle Ko.
Le hasard, et le scénariste, faisant bien les choses, Moon Sang-te aime beaucoup les contes pour enfants et voudrait avoir l'autographe d'une célèbre auteure du genre.
Vous devinez qui.
Mais il se fait tard, il habite trop loin pour arriver à temps, c'est donc son frère qui fera la demande en son nom.
En attendant, buvant son café dans le jardin de l'hôpital Kang-te remarque une jeune femme, de noir vêtue, qui fume et lui fait remarquer que c'est interdit alors que le vent fait tournoyer les pétales des fleurs de cerisiers.
Obéissante elle éteint sa cigarette.
Dans le café de l'infirmier.
Mais l'heure du show sonne au beffroi du destin et Mlle Ko fait sa lecture, en commençant par un cri, celui poussé par son héros, un garçon dont le passé revient le hanter chaque fois qu'il s'endord et qui n'a pour solution, ce n'est pas une surprise, que d'aller voir la sorcière pour la supplier de le débarrasser de ses cauchemars.
Elle accepte et viendra le moment venu réclamer son dû.
Mais la lecture est interrompu par M. Kim qui s'est échappé de sa chambre et qui cherche sa fille, Go-eun, s'ils ne peuvent vivre ensemble, autant mourir.
Moon-young a remarqué l'homme, l'a suivi, et se moque de lui ce qui l'énerve quelque peu. Mais alors qu'il essaie de
l'étrangler un souvenir revient à la jeune femme qui est
sauvée de justesse par un infirmier que nous connaissons, lequel immobilise M. Kim et, pire, le sauve alors que Mlle Ko allait le poignarder en interposant sa main entre la lame et le minable M. Kim.
La journée continue mal pour Kang-tae, il faut un responsable, ce sera lui. Un établissement de plus à sa collection. Il allait bientôt partir de toute façon, c'est la période où les papillons s'approchent...
Ce qu'il regrette vraiment c'est d'avoir oublié l'autographe. Peut-être que son pote Jae-su peut l'imiter.
Mais pas assez bien pour Sang-tae.
Ailleurs Nom Ju-ri est venue chercher la signature, et rencontre Moon-young, des retrouvailles pour elles.
Elles vont s'arranger, et l'infirmière obtiendra sa signature.
Pour M. Kim aussi, son souhait est exaucé, il est retrouvé mort dans sa cellule alors que Moon-young lie Le garçon qui se nourrissait de cauchemars, comme si celui lui rappelait quelque chose, quelque chose en lien avec les papillons mais qui concernerait son frère.
Le lendemain Moon-young se rend au siège de SangSangESang, comme prévu. La secrétaire le fait attendre alors que Mlle Ko arrive chez son éditeur pour la sortie de Kid Zombie.
La logique voudrait que ce soit Kang-tae qui remarque la jeune femme, or c'est l'inverse qui se produit, bien qu'il avoue avoir eu le désir de revoir les yeux de la jeune femme qui lui en rappellent d'autres, une femme dont les yeux manquaient totalement de chaleur.
Les personnages sont en place et tout laisse à penser qu'ils ne sont pas ceux d'un conte pour enfants, à moins qu'il ne soit écrit par Ko Moon-young.
Un drama qui sort des sentiers battus, présentant sans les caricaturer des personnages différents avec pour vedette un couple que tout semble opposer mais la clarté et les couleurs ne font que souligner la noirceur qui se dissimule derrière comme les secrets derrière les sourires et les cicatrices sous les vêtements.
Impossible de ne pas souligner la légèreté de la réalisation qui montre une fois encore que de nouveaux réalisateurs s'imposent, une réalisation sachant s'approcher, regarder, prendre le temps de présenter, utilisant images et allégories,
passant du dessin animé, pour les contes, à la réalité, les premiers se faisant l'écho du passé de nos héros qui, s'ils n'étaient que jeunes et beaux, manqueraient d'épaisseur.
L’occasion de souligner la justesse de la distribution et la valeur du jeu de tous les interprètes qui savent d'un regard montrer un état d'âme, d'un sourire, montrer un sentiment qu'aucun mot ne vient exprimer et d'un mot d'humour montrer une cruauté qui me fait plaisir.
에스 에프 에잇 – créé par Min Kyu-dong – producteur exécutif Min Jin-soo – MBC - 2020
L'hôpital ''le Paradis'' porte-t-il bien son nom ?
Ça reste à prouver, toujours est-il que Moon Sook s'y trouve depuis dix ans, depuis qu'elle est dans le coma, sous la surveillance d'une nurse robotisée de dernière génération, un modèle haut de gamme venu d'Allemagne appelé Gan Ho-joong dont le visage est celui de la propre fille de Mme Moon, ainsi, se réveillant, elle serait rassurée de reconnaître la personne près d'elle.
Bien qu'il semble que cette possibilité soit à exclure, les dégâts causés par l'AVC étant irréversible.
Dans une autre chambre un groupe de prière chante pour que le malade qui y repose retrouve ses facultés mentales, mais là aussi cela semble compromis.
Là aussi un robot surveille le patient et sait qu'elle ne doit pas tenir compte de sa demande de manger, encore et encore. Heureusement, ou pas, son épouse est là pour lui apporter des bonbons, en, trop, grande quantité.
Elle fait ce qu'elle peut pour le supporter mais cela devient difficile, au point qu'un oreiller pourrait être une solution, il suffit qu'il se trouve sur la tête, et non en dessous.
Une solution comme une autre, non ?
Mais la nurse n'est pas de cet avis et intervient avant qu'il soit trop tard !
Mais pour qui ?
Pas pour l'épouse qui meurt par terre, l'infirmière n'était pas programmée pour la surveiller elle.
Un soir Jung-jin s'en va sans dire ''à bientôt'' ce qui intrigue Gan toujours attentive au moindre détail, elle réfléchit et conclut que la fille est en moins bonne santé que la mère dont l'état n'a pas vraiment évolué depuis 7 ans qu'elle s'en occupe.
C'est un problème qui l'a fait presque disjoncter, a-t-elle la réponse à son interrogation dans ses algorithmes ou doit-elle en trouver une plus personnelle. Les programmateurs oublient toujours quelque chose.
Son inquiétude grandit quand Jung-jin ne répond pas à ses appels, reste une solution, appeler sœur Sabina, qui dirige l'hôpital afin de lui demander conseil.
Finalement elle obtient sa correspondante qui se laisse aller à exprimer son sentiment de solitude, d'inutilité, et son manque de perspective maintenant que l'imprimerie familiale est à vendre.
Gan prend une décision, elle sent la détresse de la jeune femme et estime que la cause étant l'état de sa mère celle-ci doit mourir. C'est, de son point de vue, la meilleure solution, bien que sœur Sabina prétende le contraire sans parvenir à la convaincre, après tout un robot ne risque pas de perdre son âme en commettant un crime. Gan est persuadée que c'est le souhait, informulé à cause de la culpabilité, de Jung-jin.
Elle propose à sœur Sabina de prier, n'est-elle pas là pour cela ?
Dans la morgue la fille et la nurse se prennent dans les
bras, vont pour s'embrasser quand quelqu'un vient lui parler de ce que les caméras de surveillance ont enregistré.
La nurse accepte de les montrer, révélant ainsi son rôle dans le décès de Mme Moon.
Que cela déplaise à Jung-jin la surprend, et elle ne réagit pas quand celle-ci laisse aller sa rage, sa frustration peut-être, sur elle.
La carrière de Gan est terminée mais sœur Sabina veut en savoir plus et se rend à Berlin, au siège du constructeur qui a récupéré son produit et veut profiter de ''l'incident'' pour l'améliorer.
La nonne peut revoir Ho-joong qui continuait à prier en l'attendant, à prier et à réfléchir sur ce qu'elle est, ce qu'elle
crut, ce qu'elle veut mais que son programme ne lui permet pas. Sœur Sabina elle peut accéder à l'interrupteur sur le côté du robot. Mais la nonne s'interroge à son tour,
serait-ce simplement débrancher une machine ou mettre fin à la vie d'une créature si proche de l'humain.
Comme si c'était une qualité.
SF8 est une série d'anticipation et de science-fiction qui fait appel à huit réalisateurs pour autant de représentations de ce qui pourrait être notre avenir. Nous pouvons nous rassurer en pensant que ce qui est annoncé arrive rarement.
Et nous inquiéter en sachant que ce qui arrive est encore pire !
Vouloir une société idéale est difficile quand chacun en a sa propre vision.
Imaginez que ce soit la mienne...
작은 신의 아이들 (Jakeun Shinui Aideul) – Réalisé par Kang Shin-hyo – Scénario : Han Woo-ri – 2018 – OCN
1994, l'église de l'orphelinat se prépare pour la cérémonie, des enfants dessinent et signent leur œuvre commune. Mais il faut se dépêcher, des invités arrivent. Les enfants leur ont préparés un joli spectacle quand une enfant s'arrêtent et se met à compter, 31 personnes sont rouges, dont sa mère.
Pas de doute, elle est possédée, il faut procéder à un exorcisme mais l'enfant ne se laisse pas faire et accuse celui-là même qui prétend faire sortir le diable d'elle alors qu'il est en lui.
Les policiers forcent la porte et découvrent 31 victimes qui semblent avoir été empoisonnées. Mais le compte n'est pas bon, deux personnes manquent, une enfant et un adulte.
20 ans plus tard. Alors qu'elle mange Kim Dan assiste à ce qu'elle pense être un enlèvement, policière elle intervient, à tort, la femme était la ravisseuse, sorti de l'asile où elle était enfermée depuis la mort de son enfant.
Un autre policier lui fait remarquer qu'il ne faut pas se fier à sa première impression, elle ne le connait pas mais un collègue le présente : Cheon Jae-in, qui résolut le plus grand nombre de crimes violents depuis 5 ans parmi les plus difficiles de Corée.
Cheon vit avec sa sœur qui collectionne les articles sur son frère alors que Kim Dan retourne dans son poste de quartier où un homme signale la disparition de sa fille, Chae So-yun, dont il est sans nouvelles depuis 4 heures, ce qui est peu pour les policiers. Il ignore, comme ses collègues, que Kim dispose d'un don particulier, ou une malédiction, elle ''voit'' les
crimes, ainsi, mais trop tard, sait-elle que So-yun vient d'être assassinée en s'allongeant dans le lit de la jeune femme, elle note les souvenirs de son rêve, le 69ème du genre. Certains lui furent préjudiciable mais qui annonce une mauvaise nouvelle n'en est pas responsable malgré ce qu'en pensent les imbéciles.
Une femme a été retrouvée pendue, ça semble être un suicide mais pas pour Cheon Jae-in qui a trouvé deux cas similaires dans le passé, pour lui il s'agit d'un tueur en série dont il trace le profil jusqu'à conclure qu'il
pourrait être chauffeur de taxi. Visionner les images de vidéosurveillance lui désigne un coupable potentiel alors que Kim enquête
de son côté dans la région de Hwaju pour retrouver Mlle Chae, elle tombe sur un conducteur de taxi, Han Sang-gu, dont elle demande à voir la boite noire, au cas où celle-ci aurait enregistré quelque chose.
Dans l'écran de l'ordinateur faisant miroir Kim voit Han enfiler des gants, s'approcher. Elle se saisit d'un crayon, se lève pour lui faire face... quand la fenêtre explose et que l'inspecteur Cheon fait une entrée spectaculaire, le taxi de M. Han conduit apparaît trop souvent sur les vidéos pour que ce soit le hasard.
Cheon est surpris de trouver Kim sur place alors que ce n'est pas son district et lui demande quelle piste elle suivit pour arriver avant lui et son QI de 167 alors qu'il mit 4 jours pour arriver à la même conclusion.
Il a 48 heures pour faire avouer Han ou trouver des preuves contre lui mais comment le faire craquer ?
S'il est vraiment le tueur.
Les recherches ayant continuées le corps de Mlle Chae est retrouvé, une comparaison d'ADN pourrait désigner le criminel mais le temps presse.
Manque de chance, elle ne donne pas le résultat escompté, mais Kim se souvient de quelque chose.
D'insuffisant !
Avant de quitter le commissariat Han l'appellera, à l'oreille, Byeol ! Elle se souvient, les enfants, le dessin...
Mais Han est sorti, et Cheon a une sœur...
Avait !
Kim Dan peut courir, chercher dans sa mémoire, il est trop tard.
2 ans plus tard. Cheon est un sans-abri, Kim Dan ramasse des crottes...
Mais ils vont se rencontrer de nouveau !
Forcément sinon le drama s'arrêterait à son premier épisode. Que vont-ils devenir, comment réagira Cheon en connaissant le talent de sa partenaire, là est l'intérêt de cette série, sans oublier le passé de Kim Dan, du destin des trois enfants, de...
tant d'autres personnages, victimes et coupables qui nous attendent, sans surprise nous aurons de vilains chabeols (presque un pléonasme, à moins que ce ne soit un euphémisme, et une Église qui ressemble à une secte avec à sa tête un gourou plus .
Un mot sur le plaisir de retrouver Kim Ok-bin, cela faisait un moment.
Jean-pierre Sinapi – 2000 – Arte
Dans la fourgonnette chante un petit groupe de handicapés revenant d'un pélerinage.
Dans le centre où sont ils sont hébergés la vie s'organise autour des difficultés des uns et des autres, problèmes entre eux mais aussi pour faire face à ses propres contraintes. Les soignants font ce qu'ils peuvent pour supporter les ''caprices'' et manies des uns et des autres comme aux mauvais caractères. Difficile métier que de comprendre ceux qui ne s'expriment que par un geste, un regard.
Les courses c'est tout un programme, les discussions aussi, principalement avec René qui joue à l'obsédé sexuel et martyrise ses aides comme les autres pensionnaires pour supporter son mal être. Le foyer est souvent en bute au voisinage qui le supporte à condition de ne pas en voir les résidents, surtout qu'ils évitent leur chemin privatif.
René veut du dessert, sa gaufre, il en profite pour insulter tout le monde, seul moyen, croit-il, pour exister et faire semblant d'oublier ses frustrations. Bien sûr qu'il se met tout le monde à dos, il le sait, mais il supporte mal sa situation, son désir qu'il ne peut pas soulager. C'est faire l'amour qu'il veut, en fauteuil c'est peu pratique, surtout qu'il rêve de femmes ressemblant à celles qu'il voit dans des films X. il veut une prostituée.
En toute discrétion dans une chambre une aide soignante rapproche les lits la nuit.
Julie est éducatrice spécialisée, elle est jeune et découvre les réalités du métier. En réunion d'équipe elle transmet la demande de René. Ses collègues sont mal à l'aise, la vie sexuelle des adhérents est un problème dont ils évitent de parler, rien n'est prévu, rien n'est organisé.
Cela n'empêche pas Julie de ne pas être insensible au charme du psy du foyer qui malheureusement est allergique aux chats.
René fait exprès de ne plus manger pour forcer la décision, s'il veut bien faire un effort, être moins désagréable et participer à la vie du foyer il aura ce qu'il veut. Bien sûr l'équipe soutient Julie dans son projet mais personne n'entend y participer. La jeune femme part donc en exploration pour trouver une ''professionnelle'' qui accepterait un client inhabituel et dont le véhicule permettrait le passage du fauteuil, pas question d'amener une de ces dames dans un lieu officiel.
Un autre problème se pose, juridiquement la situation est compliquée, Julie pourrait être accusée de proxénétisme et la directeur du foyer impliqué s'il y avait une plainte déposée.
Pourquoi attendre un certificat, une ordonnance pour du viagra ? Julie prend les choses en mains, du moment que René peut payer les 400 F demandés.
La première rencontre se passe mal, le fauteuil ne passe pas la porte, les rails sont trop larges. Ce n'est pas une raison pour renoncer !
Les choses avancent... et pas que pour les pensionnaires du foyer.
C'est vrai qu'il ne faut pas abdiquer. Vie sexuelle et handicap ne faisaient pas bon ménage, en France, à l'époque du film. Vingt ans après est-ce mieux ?
왓쳐 (Watcheo) – réalisation : Ahn Gil-ho – scénario : Han Sang-woon – 2018 – OCN
Toute sirène hurlante une voiture de police traverse Séoul, elle amène un prévenu au commissariat ou un enfant, Kim Young-goon est assis, seul, les pieds couvert de sang. Reconnait-il cet endroit ? A-t-il vu qui lui a fait ça ? Est-ce son père ?
Les années ont passées, Kim Young-goon est policier et encore une fois il est interrogé après avoir fait usage de son arme sur Son Byung-gil qui n'avait pas respecté un feu de signalisation et le reconnaissait ce qui parut étrange à Kim qui l'arrêta en le blessant à l'épaule.
Do Chi-gwang, de la brigade d'inspection, entre dans le bureau de son chef, le sous-commissaire Park Jin-woo, il veut enquêter sur Jang Hae-ryong,
pourquoi pas, alors que parallèlement le président de CH Ingénierie et Construction Kim Sang-joon vient d'être arrêté par l'équipe spéciale de la criminelle du poste de Seyang dirigé par Jang Hae-ryong or le détective Do pense qu'ils se connaissaient ce qui invaliderait l'arrestation lors du procès. Park voudrait des preuves, des photos ne suffiront pas à impliquer le policier et do justement enquête sur les policiers.
Autre mauvaise nouvelle pour Do, une partenaire lui est imposée, Jo Soo-yeon, bien qu'il ne semble pas intéressé elle le suit jusqu'à la salle de sport des archives devenu un bureau où il peut interroger sa recrue qui lui avoue qu'elle est là sur ordre et que maintenant qu'ils sont deux ils pourraient travailler sur une autre affaire, celle impliquant un jeune policier du département de la circulation de Nambu qui a tiré sur un homme dans la rue, Son Byung-gil,
c'est de lui qu'il s'agit avait au préalable été poignardé. Le hasard étant grand Son travaillait chez CH Ingénierie ! L'occasion pour Do de se rendre à Nambu où Kim est interrogé sous la surveillance de
Jang, chef du poste, un policier que Do suit depuis un moment sans avoir (encore) pu le coincer. Il en profite pour demander que Kim vienne avec lui, il veut en savoir plus.
Dans son bureau Do présente à Kim ce qu'il fait et l'interroge sur ce qui s'est vraiment passé. Enfin le jeune homme peut raconter comment, alors qu'il patrouillait à moto, il fit s'arrêter Son Byung-gil pour être passé au feu rouge en risquant d'écraser plusieurs piétons. Alors qu'il allait le laisser repartir après lui avoir mis une amende Kim remarqua du sang sur une main du contrevenant qui essaya alors
de le poignarder avec un tournevis avant de prendre la fuite suivi du policier, à moto d'abord, à pied ensuite jusqu('à ce que Son prenne une enfant en otage., sa propre fille, Ah-reum, Kim réussit à le blesser sans que le fuyard cesse sa course. Kim fut finalement rejoint par Jang et son partenaire, des ''amis'' de Son qui étaient probablement à ses trousses quand Kim demanda de l'aide.
Forcé de rester Dehors Kim sent que quelque chose ne va pas et force l'entrée ; à temps pour sauver sa ''victime'' qui le prévient de surveiller ses arrières, ses collègues ne sont pas sûrs.
Surtout ceux-là !
Reparti Kim est abordé par Jang qui lui signale que Do, des années plus tôt, eut son père, il faut dire qu'il avait tué sa femme... mais Kim le sait, n'a-t-il pas assisté au meurtre ? Son père ayant avoué il n'eut pas à témoigner. Do est bien placé pour être au courant de toute l'affaire.
Après avoir été procureur Han Tae-joo est devenue avocate et visitant un client en prison celui-ci lui demande de défendre Son Byung-gil afin qu'il lui restitue quelque chose. Nous ne serons pas surpris d'apprendre que Do et elle se connaissent depuis un moment. Sera-t-elle une adversaire ou une partenaire...
Les pions sont en place, les gentils, les méchants, ceux qui devraient être les premiers mais ont pris une autre voie.
Des policiers corrompus, des hommes d'affaires malhonnêtes, rien de neuf dans ce scénario, du moins à la vue du premier épisode, je gage, et j'espère, que les suivants nous réserverons quelques surprises.
Bienvenue sur ce blog ! Vous y découvrirez mes goûts, et dégoûts parfois, dans un désordre qui me ressemble ; y partagerez mon état d'esprit au fil de son évolution, parfois noir, parfois seulement gris (c'est le moins pire que je puisse faire !) et si vous revenez c'est que vous avez trouvé ici quelque chose qui vous convenait et désirez en explorant mon domaine faire mieux connaissance avec les facettes les moins souriantes de votre personnalité. |