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29 juin 2020 1 29 /06 /juin /2020 08:00

Bernard Minier – 2017 – XO

Norvège. Le train traverse la nuit et le froid norvégien, il s'arrête à chaque gare entre Oslo et Bergen. Kirsten Nigaard est tranquille, jusqu'à ce qu'une femme vienne s'asseoir en face d'elle et entame la conversation avant de se montrer indiscrète puis envahissante, apprendre que la jeune femme est policière excite sa curiosité, pas question pour Kirsten de lui dire qu'elle se rend à Bergen pour enquêter sur un meurtre commis dans une église.

Un collègue vient l'attendre, pas question de perdre du temps aussi demande-t-elle à se rendre immédiatement sur les lieux bien que le corps soit à la morgue. Par un film elle sait que la femme était couchée sur l'autel, arc boutée, la tête pendante, la langue tirée, une tête aux os fracturés, comme la cage thoracique, le crane avait subi le même sort, avec un encensoir. Elle s'appelait Inger Paulser et travaillait sur une plateforme pétrolière. En soi le crime pourrait n'être qu'une affaire de plus, aussi sordide que beaucoup d'autres s'il n'y avait eu dans la poche de la victime un papier sur lequel était écrit : Kirsten Nigaard.

Pour se rendre sur une plateforme l'hélicoptère est le meilleur moyen, malgré le vent et les risques il faut aller vite. Malgré l'hostilité du capitaine Nigaard commence son enquête par la visite des chambres des hommes absents au moment du crime. Dans l'une les enquêteurs découvrent un slip taché de sang, une bonne raison pour interroger le locataire de la chambre, lequel ne semble pas vouloir être coopératif. Finalement arrêté il prétend s'être enfui parce qu'il trafiquait du shit et que la culotte était un ''souvenir'' de sa petite amie. Cette arrestation n'empêche pas de poursuivre les inspections, pour découvrir dans une autre cabine une enveloppe recelant des photographies, sur la première on voyait un enfant blond sur fond de montagnes, d'un lac, d'un village... sur les autres c'était un homme, sur un tirage il entrait dans un bâtiment sur lequel était écrit, en gros ''Hôtel de Police''. Au dos de la première photo un prénom était écrit Gustav, visiblement c'était l'écriture qui avait rédigé son nom à elle.

En France, à Toulouse, Martin Servaz enquête sur des agressions de femmes, un homme est suspect et avec son partenaire il se rend chez lui pour l'interroger. Un détail le fait tiquer, pour une autre affaire qui amène l'homme à s'échapper pour après une course poursuite celui-ci se retrouve sur un wagon alors qu'il pleut, la caténaire est proche, Servaz plus encore, il se retourne, tire, et alors qu'un arc électrique le foudroie la balle atteint le policer en plein cœur.

Et pourtant ni l'un ni l'autre ne vont mourir. Le criminel va se retrouver en centre de grands brûlés et le policier dans le coma, s'en sortant de justesse. Ce qui est normal, c'est le héros ! De son voyage il va revenir différent, ayant vu, ayant aperçu, ayant, pense-t-il, compris...

Deux mois vont se passer avant que la policière norvégienne arrive, qu'ils se retrouvent à enquêter sur ce Gustav puis sur un vieil ennemi de Servaz : Julian Hirtmann, tueur en série aussi intelligent que machiavélique qui passait pour mort. Mais non, il était sur la plateforme pétrolière, dans l'entourage de Martin pour le photographier, toujours là, proche, tissant sa toile avec un but unique.

Que veut-il, qui est réellement Gustav ? Servaz va connaître les pires tourments, affronter doutes et trahisons, faire face à la mort, à la vie, à...

Bernard Minier nous entraîne sur les sentiers glacés de la perversion mais comment ne pas mettre nos pas dans ceux de ses héros pour savoir ce qu'ils cachent, quelles ombres les manipulent. Le pire n'est jamais loin, mais tant qu'il suffit de fermer un livre pour le repousser il n'est pas à craindre.

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20 juin 2020 6 20 /06 /juin /2020 14:49

Scénario : Fred Duval & Jean-Pierre Pécau - Dessin : Stevan Subic

Couleur : Scarlett Smulkowski - Couverture : Nicolas Siner

DELCOURT

Londres septembre 1899.

Un homme se présente dans une fumerie, ''il faut qu'il fume, vite !'' dit-il, mais c'est trop tard, Jekyll est réveillé, et il n'est pas content.

Pour l'arrêter la police ne suffira pas, l'armée est nécessaire.

Au même moment dans un casino du quartier de Mayfair. Gibbs vient de gagner une forte somme au poker à Salisbury. Autour de la table les gens regardent alors qu'à côté deux hommes attendent la venue de Holmes. À son arrivée il veut bien prendre la place de Lord Salisbury. Autour de la table il reconnaît Spencer Churchill, Lord Grey, défenseur du tabac et souhaitant faire interdire la cocaïne qu'il prétend plus nocive. Holmes n'est pas de cet avis.

Jekyll a fracassé la paroi, il débouche dans la rue où l'attend l'armée qui ouvre le feu.

Holmes relance de 500 livres, l'honorable Gibbs, par la voie de la jeune femme qui l'accompagne, suit, puis le premier joue son tapis, Gibbs en fait autant. Holmes abat un carré de rois ! À la surprise de tous Gibbs s'abat sur la table, révélant sa nature d'automate alors que sa ''nurse'' prend le large, sort une arme, va pour tirer pour s'échapper quand une balle l'arrête.

Le plus intéressant est d'examiner la machine, Holmes s'interroge.

Le chirurgien fait tomber une septième balle dans un bac, la dernière de celles qui aient frappée Jekyll. Qu'il ne soit pas mort est déjà extraordinaire, mais malgré son état il convient de l'installer dans une cellule pour forcené, on ne sait jamais.

La preuve !

Holmes et Watson se rendent Pall Mall Street, au club Diogène, crée par Mycroft à l'intention des misanthropes. Le frère de Holmes pourrait apporter des preuves aux déductions du détective. S'est joint à eux Mr Churchill. Des discussions il apparaît que les pièces de l'automate viennent des usines Nobel.

C'était pour surveiller la veuve de l'inventeur de la dynamite que Mycroft assistait à une représentation de Don Giovanni. Mme Nobel, une jeune chinoise, est l'héritière de l'empire de son mari, y compris son entreprise d'armement, elle est de passage à Londres pour y rencontrer des investisseurs. Holmes pense que l'industriel suédois a été assassiné en 1896 en Italie bien que la police transalpine n'ait rien découvert.

Le lendemain Un notaire se présente Baker Street. Maître Utterson est inquiet à propos d'un de ses clients, le docteur Jekyll qu'il pense victime d'un chantage et porté disparu depuis deux jours.

coïncidence, ou non, mais le docteur a, lui aussi, décidé de changer le contenu de son testament. Il précise qu'en cas d'absence dépassant les trois mois ses biens deviendraient ceux de Henry Jekyll.

Par curiosité, et soucieux de la santé de son ami, Utterson en surveilla la maison et nota un fait étrange.

Le rencontrant finalement le lendemain Jekyll lui confia avoir passé la nuit avec Hyde puis le pria de quitter sa demeure.

Il ne devait plus le revoir.

L'évidence s'impose pour Holmes qu'il doit visiter la demeure de Jekyll.

Ce qu'ils font, jusqu'à ce que trois malandrins les assaille violemment afin de s'emparer de quelque chose, qu'ils savaient où chercher.

Puis s'échappent en grimpant à bord d'un ballon dirigeable avec le coffre qu'ils viennent de voler.

Holmes fait mine de retourner dans le laboratoire, il s'arrête, saisi par une évidence qui l'amène à se retourner pour partir, laissant derrière lui ses compagnons auxquels ils ne donnent pas d'explication.

Rendez-vous est pris pour le soir même à la taverne de Steam, 22 h.

Puisque de Steam il est question il convient de préciser que le steampunk est un genre à la frontière du fantastique, de la fantasy et de la science fiction qui voit une fin du 19ème siècle mécanisé, on le voit dans cette histoire avec la rencontre de Holmes et des robots, qu'il y ait en plus l'irruption du docteur Jekyll et de son alter ego est un plus, s'y adjoint un personnage qui n'est pas apparu au moment où j'interromps ma relation de cette bédé mais le titre est assez explicite pour que je ne vous en dise pas davantage. Il faudrait un article spécifique pour définir ce genre, inutile pour vous pourrez satisfaire votre curiosité ici.

J'ai beaucoup cette histoire, ses personnages, son graphisme, son scénario... bref, tout. Ce qui est assez rare et explique le peu de bédés qui apparaissent dans ce blog. Probablement par manque de curiosité, et de temps.

Peut-être vous parlerais-je de la suite, d'ici-là il importe que vous lisiez celle-ci.

Vous ne serez pas déçu, et si vous l'êtes allez vous plaindre à Mr Hyde !

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18 juin 2020 4 18 /06 /juin /2020 08:00

Bernard MinierXO EDITIONS – 2015

Au commencement est la peur

Le narrateur l'affirme, il ne retournera jamais sur l'île, même si Jennifer Lawrence le lui demandait (ce qui est méritoire!). Il faut dire que Glass Island, île étasunienne au large de l'état de Washington, ne présente pas tous les avantages d'un lieu accueillant, il y fait froid, il pleut souvent, sans parler de la brume qui semble avoir trouvé là un lieu de villégiature idéal. Bien que certains touristes aiment cet environnement. Il nage dans l'eau glacée, se souvient de la baraque en flammes, mais il est temps de commencer son récit à l'homme en face de lui : son père, et à nous par la même occasion, tout en nous prévenant qu'elle pourrait être difficile à croire.

Henry Dean Walker a 16 ans, il aime les orques, ce superprédateur qui rode dans les eaux de son île, il apprécie leur puissance, leur côté implacable. Le ferry est l'unique lien entre GI et le continent, et un jour après une dispute avec sa petite amie, Naomie, qui l'accusait sans dire de quoi, celle-ci disparaît, pour être retrouvée, noyée. Henry devient le suspect numéro 1, logique. Henry a été adoptée par deux femmes, France et Liv, la première étant muette la langue des signes est leur moyen de communication. Elles sont très protectrice, lui interdisant absolument de poser quelque photo de lui que ce soit sur les réseaux sociaux. Son meilleur ami est Charlie qu'il présente comme étant toujours en retard, et puceau, sans qu'il y ait de lien de cause à effet. Charlie dont le frère ainé, Nick, est l'adjoint du shérif, Avec ses potes ils s'amusent, passent d'île en île, trouvent toujours comment s'occuper.

Henry commence par poser le cadre du présent, en l'additionnant d'images du passé, il présente ses amis, outre Charlie. Petit à petit le décor se referme sur les protagonistes, l'ambiance se fait pesante, l'angoisse devient palpable, facile sur ce genre d'île où la vie humains semble incongrue.

Il pleut, l’obscurité s'amuse avec les personnages comme l'auteur avec ses ''héros'', qui semblent si peu mériter ce titre. Henry est confronté à la puanteur des égouts sociaux, je veux dire des réseaux sociaux, dans lesquels errent des pseudos juges et autres donneurs de leçons.

La narration à la première personne permet de se rapprocher de Henry, de se mettre à sa place, de ressentir avec lui, de penser comme lui, jusqu'à avoir l'illusion de le connaître, de le comprendre.

Et puis...

Allez faire un tour sur Glass Island, vous apprécierez son environnement et serez sûrement heureux d'en revenir.

Les orques sont charmantes.

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8 juin 2020 1 08 /06 /juin /2020 08:10

Motorô Mase – Kazé Seinen – 2013 traduit du japonais par

Jacques Lalloz, adaptation et correction : Josselin Moneyron - 10 tomes
 

La cérémonie marquant la rentrée se termine, c'est le moment de l'injection voulu par la ''Loi pour la sauvegarde de la prospérité nationale''. Les infirmières sourient mais les enfants regardent s'approcher l'aiguille en pleurant.

Tous vont y passer, c'est comme ça ! Après quoi la directrice les félicite et précise que :

Chacun doit profiter de sa vie, l'appréhension de sa mort prochaine élevant le degré de conscience populaire qui permet d'augmenter la productivité de la société.

Fujimoto Kengo grandit, passant sans encombre le délai fatidique et regardant ses ''obligations'' avec distance, à l'inverse de ses collègues alors même que lui est rappelé l'utilité du système, la baisse du nombre de suicides et d'acte de délinquance alors que le PIB et la natalité progressent d'année en année. Soudain un homme se lève, s'insurge, dénonce un jeu de roulette russe avec la vie des gens, sa sœur faisait partie du millième de la population condamnée. Il n'a pas le temps d'en dire plus.

Les citoyens ayant reçu la capsule fatidique reçoivent 24h avant leur mort un préavis indiquant le jour et l'heure exacts de leur décès :

C'est ce document que Fujimoto et ses collègues sont appelés à délivrer. Le jeune homme pourtant doute de la validité de son devoir d'autant qu'il doit connaître la vie de l'intéressé(e) pour remplir sa mission avec humanité.

C'est le soir qu'il livre son préavis, et quand il s'annonce chacun sait pourquoi il est là. C'est à la mère du futur défunt qu'il donne l'attestation, supporte les pleurs de la récipiendaire jusqu'à ce qu'elle signe le récépissé.

Pour autant la société n'est pas idéale, Yosuke Kamoi le sait bien qui dut voler un cd sous la menace, se fit prendre et fut sévèrement puni par ceux qui l'avaient mandaté qui lui écrasèrent leurs mégots sur la tête. 4 ans ont passé mais il n'oublie pas et ses brûlures font toujours mal.

Il est surpris quand sa mère vient le voir dans sa chambre, plus encore quand il apprend qu'il entame la dernière journée de sa vie.

Autant l'utiliser d'une manière qui lui fasse du bien !

Fujimoto est prévenu de la disparition de Kamoi, mais le cas est prévu. Si un condamné se livre à des actes répréhensibles sa famille sera pénalisée en ne touchant pas sa ''pension familiale de prospérité nationale'' et en devant payer des dommages et intérêts. Au tour de Shimoyama, le chef de ceux qui le terrorisèrent si longtemps.

Mais la vengeance ne semble pas si agréable, trop longtemps après elle n'avait plus de goût. Que lui restait-il d'autre que mourir seul au bord d'un chemin forestier ? Quand ses exactions furent connues Fujimoto prit conscience que sans l'Ikigami Yosuke ne serait jamais passé à l'acte.

Les Komatsuna sont un duo de musiciens jouant un peu partout pour gagner leur vie formé de Torio Tanabe, l'interprète, et de Hidekazu Morio, le compositeur. Ils se produisent depuis un an quand, un soir, Yu'ichi Satake vient les voir mais ne veut écouter que Tanabe.

Kengo visite le lieu de production des capsules, des vaccins, des seringues, découvre une organisation segmentée afin que le secret soit complet.

Tout un système complexe paraissant ne pas laisser place à l'erreur. Fujimoto en sait plus mais cela n'allège pas son rôle.

Tanabe et Morio se sont séparé, le premier était trop heureux de se voir offrir la chance de devenir une vedette bien que son futur ex partenaire lui promette une carrière courte. Ce que les faits finissent par corroborer. Il ignore que Kengo vient de recevoir un nouvel Ikigami à livrer, à son nom.

Il reste 24 h à Tanabe alors que son ex partenaire a un accident et se trouve dans le coma. Une journée ça passe vite, pour le condamné qui peut enfin passer à la radio, une chance qu'il ne peut laisser passer, l'opportunité d'interpréter ''Un signal sur le bord de la route'', de Komatsuna, une chanson que Morio entend puisqu'il réagit et se réveille à l'instant ou son ami meurt.

Sans l'Ikigami Tanabe aurait suivi un chemin différent de celui qu'il espérait, Morio serait peut-être mort, naturellement...

Ce manga nous montre comment chacun peut employer sa dernière journée, en bien, en mal, alors que Fujimoto voit croître ses questions sur son rôle et l'utilité de cette injection.

Je n'ai pas encore vu le film tiré de ce manga, ça viendra !

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1 juin 2020 1 01 /06 /juin /2020 08:00

Franck Thilliez – 2018 – Fleuve noir

Quoi de plus facile que défier des requins en se tenant de l'autre côté de l'épaisse vitre de l'aquarium, c'est ce que fait Philippe alors que son fils, Lucas, est effrayé de voir un plongeur nager entre les squales alors que son partenaire reste à la surface, au cas où il se passerait quelque chose. Mais c'est improbable.

Sauf si le nageur modifie son comportement en sortant un couteau et s'entaillant la paume. C'est un numéro pensent les spectateurs qui s'agglomèrent et filment attendant quelque chose de dramatique. Le requin-tigre attaque et arrache la main blessée. Le plongeur veut remonter, trop tard, Philippe et Lucas assistèrent à une scène qu'ils n'oublieraient jamais.

Six mois plus tard

Lucie Hennebelle était dans la maison de son policier d'oncle, Anatole, dans les combles où celui-ci passait son temps libre à monter des maquettes d'avions. Sa tante venait de trouver dans un tiroir verrouillé le dossier de sa dernière affaire : la disparition de Lætitia Charlent, 20 ans, une métisse aux allures de garçon manqué, au visage lumineux et cheveux noirs en frisettes de moutons, sans oublier un piercing à une narine.

Dans le dossier figurait l'empreinte d'une clé qu'Anatole n'avait pas eu le temps d'aller retirer pour cause d'infarctus, le 10 juillet. Il semblerait qu'il s'agisse d'un double de chez Julien Ramirez, suspect dans la disparition de Lætitia. Anatole avait probablement le dessein de pénétrer chez lui mais n'en avait pas eu le temps.

La disparition avait été signalée mais la police pensait à une fugue et n'avait pas vraiment enquêté. Anatole venait de prendre sa retraite mais connaissait la famille d'accueil de la jeune fille, il ne voulut pas rester inactif et enquêta de son côté amenant plusieurs témoignages que la police dut retenir et qui mirent le rôle de Julien Ramirez en lumière bien qu'il présentât un alibi ce qui fit penser à Anatole qu'il aurait pu avoir un complice.

Bref la tante espérait que Lucie, flic au 36, relance l'enquête.

Un soir Lucie retrouve son compagnon, Franck Sharko qui se prépare à passer une nuit d'interrogatoire afin d'élucider un double meurtre. Le policier parti Lucie appelle la nounou, Jaya, pour venir s'occuper des jumeaux. Pas question de parler à Sharko de son enquête sur Ramirez dont le dossier psychiatrique soulignait qu'il souffrait du syndrome de Renfield et s'excitait à la vue du sang, pratiquant l'autovampirisme puis la zoophagie. Le fait qu'Anatole avait indiqué qu'il y avait des bruits dans la maison ce qui intriguait Lucie qui voulait se rendre compte par elle-même avant d'impliquer la police.

Comment mieux faire qu'en pénétrant, par effraction, dans la maison. Ce qu'elle fit, alors qu'un SMS de Sharko la prévenait que les aveux étaient en avance et qu'il rentrerait dans une heure. Le temps allait lui manquait. Elle découvrait rapidement la porte donnant sur la cave, ouvre, descend quelque marche et se fige quand un cri retentit.

Elle reprend sa descente, glisse et dévale 5 marches sur les fesses sans lâcher son Sig Sauer.

De victime l'intruse découvrit un chat dans une cage et un élevage de sangsues. La cave est immense et le temps manque à la jeune femme, elle doit partir sans laisser de traces de son passage. Inutile puisque Ramirez est là et lui saute dessus. Elle est rapidement dominée, sent la mort proche mais dans un sursaut s'empare de son arme, tire.

Elle met du temps pour récupérer, le cambriolage est devenu un homicide et elle met du temps pour retrouver ses esprits, se voyant dans une cellule de 9m2. La Chevauchée des Walkyries résonne, elle décroche, Sharko lui dit qu'il vient de renvoyer Jaya, lui demande où elle est, si tout va bien.

Je viens de tuer un homme ! Reconnaît-elle.

Le choc est violent pour Franck qui voit l'avenir de sa compagne dans une prison, sous la menace des autres prisonnières guettant l'occasion de l'agresser. Une fois arrivé elle lui raconte les circonstances l'ayant conduit au meurtre.

Sharko commence à effacer les traces de l'agression, pas question de laisser la mère de ses enfants finir en taule. En attendant Lucie se demande si Ramirez était vraiment coupable ou victime des circonstances.

Le plus important : récupérer la douille, celle-ci reste introuvable. Parmi les solutions la meilleure semble être pour Sharko de récupérer l'enquête. Son couple en vaut le risque. Cela paraît si simple.

Paraît... avec Franck Thilliez vous pouvez être sûr qu'il n'en sera rien, le grain de sable n'est pas loin et le passé n'attend que l'opportunité de resurgir. Violemment !

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28 avril 2020 2 28 /04 /avril /2020 08:00

Vernes / Coria – Le Lombard – 2005
 

 

Son physique explique que Sven Londorf soit surnommé le ''viking''. Venant de tuer deux policiers au cours d'un hold-up il fuit alors que des sirènes résonnent dans la rue. Engagé dans une impasse il se retrouve coincé par les policiers qui lui envoie du gaz asphyxiant. Les cops vont l'embarquer quand deux hommes du F.B.I. Interviennent pour récupérer Londorf.

Le ''viking'' se réveille à Washington où les deux hommes lui rappellent sa situation, difficile, et lui proposent d'adhérer à un projet de l'US C.B.E.R.C. Entre se soumettre et se voir condamner à mort son choix est vite fait. Sven se retrouve dans le désert de Mojave où en deux ans il devient un cyborg,

un super combattant. Au cours d'un entraînement son équipe est attaqué et il est convié à monter à bord d'un hélicoptère pour s'échapper. Un appareil où il peut sentir le parfum de l'Ylang Ylang.

Le même jour Bob Morane et Bill Ballantine débarquent à l'aéroport de San Francisco quand ils assistent à une scène extraordinaire. Ignorant que c'est Londorf ils sont surpris de le voir agir comme de rencontrer deux vieilles connaissances, Murdock et Levin, du C.I.C. qui leur parlent de l'exterminateur, un secret d'état mais depuis l'intervention du SMOG ils sont prêt à demander l'aide de nos amis, bons connaisseurs de cette organisation. Justement, Sven, est programmé pour tuer les ennemis du SMOG, dont ils sont. Ainsi sont-ils prévenus d'un adversaire qu'ils pourraient retrouver.

Justement...

Suivis par l'exterminateur ils inversent les rôles mais c'est un piège, Sven sait qu'ils sont là. Le temps étant passé nos héros se glissent dans la demeure où disparut Londorf. Celui-ci les attendait mais ignorait les réflexes de B&B. Trop rapide pour eux il parvient à s'échapper.

Le lendemain c'est Levison, de la C.I.A. qui vient les voir et leur expliquer le projet ''super combattant'' et leur demander leur aide, sans oublier qu'il importe de ramener ''l'exterminateur'' vivant. Comment refuser, surtout qu'ils sont impliqués et menacés. Ce qui dérange beaucoup Miss Ylang Ylang, toujours éprise de Bob et qui en veut beaucoup à Orgonetz de tenter de l'éliminer.

Pendant que Bob et Bill roulent la radio communique l'évasion d'un gorille, King, animal doté d'une grande force mais paisible.

Lui !

Ayant retrouvé la piste de leur cible ils la suivent à une ancienne conserverie. Celle-ci est pourtant difficile à surprendre, ses sens cybernétiques et sa force lui donnent des avantages qu'un appareil peut perturber, dans les mains de Miss Ylang Ylang qui ne peut imaginer qu'il arrive malheur à Morane.

Ce que ni l'un ni l'autre n'avait prévu c'était que M. Ming serait de la partie.

En attendant Bob et Bill font quelques emplettes, d'armes, en vue de leur prochaine rencontre avec l'exterminateur qui n'a pas perdu de vue son objectif : éliminer Morane et Ballantine.

L'ordre est dans son programme, mais il va faire une rencontre inattendue : King, le gorille des montagnes. L'exterminateur et l'animal vont se faire face et le second va tout de suite détester le premier, une preuve de lucidité s'il en est.

Le plus fort va gagner. King va retrouver sa compagne, Kong, et M. Ming capturer l’exterminateur. Tout est bien qui finit bien.
Sauf pour Sven, mais c'est bien fait pour lui.

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23 avril 2020 4 23 /04 /avril /2020 08:00

Vernes / Coria – Éditions du Lombard – 2000

Morane est à San Francisco en reportage pour ''Reflets''. À l'hôtel il reçoit un appel de David Weï, antiquaire que le français connaît pour avoir déjà fréquenté sa boutique. Le commerçant lui propose un bronze ''Kouei'' avec incrustations de cuprite. Le français accepte, une bonne affaire ne se refuse pas. Il n'avait pas prévu que la pluie serait de la partie.

Non sans difficulté, travaux de voirie oblige, Bob arrive chez Weï. Entre, appelle sans que personne réponde. S'avançant il découvre le ''Kouei'' d'abord, M. Weï ensuite, agonisant sur le sol. Celui-ci a juste le temps de lui dire qu'il a été empoisonné, qu'il est trop tard, qu'il doit se méfier de Yin, contacter Li Yang, que dans sa main...

Au moment de repartir Morane tombe sur des ''Hatched Men''. Heureusement un antiquaire peut avoir des armes chez lui, une lance chinoise fera bien l'affaire. Le toit est la seule issue mais ses ennemis sont là.

L'avenir s'annonce mal mais une aide inattendue se manifeste.

Sa sauveuse se présente : Sarah Li Yang, un nom que Morane commence à connaître. À son hôtel ce sont les envoyés de Allan Li Yang qui se manifestent pour le convier chez leur employeur.

Ils sont convaincant, Bob ne peut dire non. Chez son hôte il retrouve Sarah. Il doit raconter ce qu'il faisait chez Weï, ce qu'il fait sans difficulté. Li Yang lui propose une association mais Morane préfère refuser.

Avant de changer d'avis. Mais quand il retourne à l'hôtel Yang Fatt Hing a disparu, avec Dumbrille ils se lancent à sa recherche. En vain, de retour à l'hôtel ils trouvent celui-ci désert avant qu'un incendie se déclenche, trop rapidement pour n'être pas criminel.

Morane parvient à s'échapper mais Dumbrille a disparu. Dans sa chambre il reçoit un appel de son vieil ami de la CIA, Herbert Gains, qui lui conseille de ne plus s'occuper des affaire de Fatt Hing. Bob accepte, promet, mais croise les doigts. Une idée lui vient, le ''Koueï'' proposé par Weï pourrait le renseigner or celui-ci est resté dans le commerce où notre ami décide d'aller le récupérer. Dans la boutique il est agressé par un pseudo cambrioleur qui parvient à s'échapper à la faveur d'une vibration sismique. Inutile de rester sur place, Bob récupère l'objet et rentre chez lui.

Dans le vase il découvre une inscription.

Après quoi c'est Dumbrille qui l'appelle pour lui donner rendez-vous sur la route de San José.

Enfin il retrouve Dumbrille qui peut lui dire la vérité, lui parler des ''Dragons enlacés'', émanation de la Triade qui doit se réunir dans la nuit. Il faut intervenir avant qu'il soit trop tard.

Comme si la Chine avait besoin d'un nouvel empereur !

 

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17 avril 2020 5 17 /04 /avril /2020 08:00

Vernes / Coria – 2001 – Le Lombard 

1722, Venise, le comte Sylvio Saliorni regagnait son palais, une résidence où il entassait les collections égyptiennes entassées par Zapolo, son ancêtre dont le clou était la momie d'Am-thot-thep, roi dont les archéologues n'avaient pas trouvé trace pour le surnommer finalement, le Pharaon de Venise. C'est elle que Sylvio venait voir quand il rentrait chez lui. Ce soir là son serviteur sursauta en affirmant avoir vu la momie bouger, qu'il lui arrivait de sortir la nuit pour errer dans les rues.

Une nuit le comte entend du bruit, aucun de ses serviteurs ne répond et quand il rejoint son musée il trouve le sarcophage de sa momie vide. Le lendemain son corps fut retrouvé la nuque brisée sans que son assassin fut jamais découvert.

3 siècles plus tard Morane est penché sur son ''Histoire secrète de la Cité des Doges'', pour l'achever il se penche sur la légende du Pharaon de Venise, la résidence de comte Saliorni étant devenu sa propriété à la suite d'un don. Le lieu idéal pour parachever son œuvre. Explorant la bibliothèque de la demeure Bob trouve un tiroir secret où de vieux dossiers étaient cachés.

Passant devant le sarcophage il trouve celui-ci vide alors que la momie était là une heure plus tôt. Appelant le professeur Corvo, responsable des collections, il est rassuré d'apprendre que celui-ci déplaça la relique pour lutter contre les effets du temps. Bob peut ensuite se pencher sur de vieux documents concernant la découverte de la momie, et la présence, à l'époque, déjà, d'un professeur Corvo. Il trouve aussi la relation du meurtre de Saliorni imputé à un cambrioleur qui n'avait rien emporté.

Le lendemain Bob reçoit la visite de Leïla Issi, égyptienne, passionnée de l'histoire de son pays et désireuse de visiter son musée. Morane l'y autorise, la laisse seule mais l'observe de loin, la voyant parler à la momie qui a retrouvé sa place. À son tour Corvo aperçoit la jeune femme mais disparaît discrètement.

Le français est curieux aussi quand sa visiteuse s'en va la suit-il, s'étonnant d'avoir l'impression que ses pieds ne touchent pas le sol quand elle marche. Il est encore plus surpris quand il remarque Corvo sur la piste de la jeune femme.

Par curiosité Morane s'introduit dans le bureau du savant à la recherche de quelque chose, il trouve une vieille photo qui pourrait être de Leïla si elle ne datait d'un siècle. Il trouve aussi, à sa grande surprise, ce qui pourrait être une traduction de hiéroglyphes datant de la fin du XVIIème siècle. Le professeur Clairembart pourra sûrement l'aider. Ce qu'il fait en lui confirmant l'authenticité des documents découverts.

Revenant d'une visite à Corvo qu'il ne trouva pas il s'étonne de l'absence de la momie, il lui semble entendre un appel au secours mais un choc sur la tête le plonge dans l'inconscience. Au réveil il prétend avoir glissé mais garde l'impression que la voix entendue était celle de son amie Sophie Paramount.

Un appel le conforte dans cette idée en lui conseillant, s'il veut la revoir vivante, de venir le lendemain au château des aigles, une ruine près de San Paolino.

Arrivé sur place Bob remarque une fenêtre éclairée, s'en approche aussi discrètement que possible. Morane trouve Sophia attaché sur une bombe, la détache rapidement et s'enfuit avec elle.

Ainsi lui raconte-t-elle comment elle fut enlevée alors qu'elle venait le voir à Venise pour des membres de la Main Noire, bande que Bob affronta par le passé. Les maffieux préfèrent l'attendre chez lui où il rencontre un Corvo différent et plus agressif, mais sensible aux balles.

Une fois rentré Bob et Sophia libèrent Giuseppe, le majordome, et trouve les intrus, morts, ainsi que les restes de Corvo, aucun doute, c'est bien lui, ou ce qu'il en reste... avant que Leïla Issi ne fasse irruption pour...

Qui étaient Corvo, Leïla Issi, et surtout, quel était le secret d'Am-thot-thep ?

Pour le savoir vous savez ce que vous devez faire. Vous ne risquez plus rien, la momie n'est plus un danger.

J'espère !

 

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31 mars 2020 2 31 /03 /mars /2020 08:00

suite de La revanche de l'Ombre Jaune

Vernes / Coria – Le Lombard – 1999 

 

Ballantine est à Rangoon à l'hôtel Strand, sur la piste de l'Ombre Jaune avec l'ambition de le tuer pour venger son ami. Il y reçoit un message laissé par le docteur Par... qui lui fixe un rendez-vous à la pagode des Nats. Le taxi l'abandonne à proximité, pas question d'aller dans un lieu ayant une si mauvaise réputation.

La preuve, Bill est attaqué par une bande de dacoïts. L'écossais est en danger mais des coups de feux résonnent qui mettent les assassins en fuite. Ils paraissent venir d'un couple étrange, un lépreux aveugle et une enfant. Impossible pour notre ami de les retrouver.

Atteignant la pagode Ballantine rencontre le docteur Par qui l'envoie à Mandalay, à la pagode arakienne devant la statue du Bouddha Mahamuni. La nuit suivante Bill doit affronter un cobra mais une fois encore une main inconnue intervient pour lui sauver la vie. Ainsi peut-il se rendre à son rendez-vous à Mandalay. Il rencontre le U-win, chef des drapeaux verts, une organisation souhaitant purger l'Asie de l'influence de M. Ming.

Bill doit repartir, cette fois sur une jonque en quête d'une autre embarcation dans les parages de l’île Tihadaw. Impossible de voyager en paix, des pirates attaquent son embarcation et le font prisonnier avec l'ambition d'en tirer une grosse rançon.

Une fois de plus c'est l'aveugle et son guide qui le tirent de ce mauvais pas et lui donnent le moyen de continuer son voyage.

La chance va le mettre sur le chemin de monsieur OH-OH, de son vrai nom, docteur Partridge. Celui-ci lui indique une forteresse mongole dont Ming fit un de ses refuges et où il pourrait être. Bill sait quel chemin prendre, au passage il va faire connaissance avec les démons rouges et malgré sa force devra succomber face au nombre. Attaché il semble promis à un sort funeste jusqu'à ce qu'il soit, encore une fois, secouru par une jeune fille qu'il croisa déjà plusieurs fois.

Une fois encore il se met en route, atteint la forteresse qu'il se met à escalader. Le sommet atteint il peut affronter son ennemi, mais celui-ci n'est pas seul et il doit céder face au nombre et aux armes. Ming lui explique le sort qui lui est réservé, lequel n'a rien de plaisant.

Pas de faux suspens, une fois encore il va être secouru et reconnaître sous les traits du lépreux aveugle l'ami qu'il croyait perdu. Comme si Morane pouvait mourir !

L'Ombre Jaune le peut-elle ?

 

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19 mars 2020 4 19 /03 /mars /2020 09:00

Vernes / Coria – Le Lombard – 1998 

 

Roulant dans les rues de Paris Morane regarde un clochard avec un singe sur le dos dont une main lui rappelle quelque chose. Quand celui-ci se tourne le français voit les yeux du dompteur, des yeux qui lui rappellent quelqu'un. Un habitué du coin lui dit que cet homme vient depuis un mois, chaque après-midi, et divertit les enfants avec son animal. Chez lui Bob retrouve la main qu'il garda en souvenir de sa rencontre avec M. Ming. Dinant le soir même dans un resto une gitane lui annonce que la mort est sur son chemin, qu'il doit se méfier. Or le journal télévisé de la nuit annonce qu'une dizaine de personnes sont mortes ainsi qu'il le leur avait été prédit.

Et si L'Ombre Jaune y était pour quelque chose ? Morane décide de se déguiser et d'aller observer l'homme au singe. Celui-ci ne semble pas avoir remarqué qu'il est suivi et conduit Morane dans un quartier où les maisons à demi en ruines voisines avec des hangars changés en dépotoirs.

Pas question d'en rester là, Morane rentre dans la maison où disparut le possible M. Ming. Dans l'obscurité Bob est attaqué par une espèce de main métallique capable de lui sauter au visage. S'échappant le faux détective entend dans la rue un cri qu'il reconnaît, celui des Dacoïts. Les tueurs de l'Ombre Jaune.

Heureusement une fois encore c'est Tania Orloff qui intervient pour le tirer de ce mauvais pas. Sitôt rentré chez lui Morane appelle Scotland Yard et demande sir Archibald Baywatter et le met au courant de la situation, avant d'appeler son ami Bill Ballantine. Un nouveau renseignement de Tania le renvoie sur la piste de son vieil ennemi, autant faire vite, attendre Bill est trop risqué.

Ming est bien trop malin pour ne rien remarquer et envoie ses sbires s'emparer du français bien que finalement ce soit son pouvoir hypnotique qui lui assure la victoire.

L'Ombre Jaune veut bien épargner son ennemi à condition que celui-ci promette de ne pas contrecarrer ses plans, Morane refusant il se voit condamné à devoir approcher la mort de nouveau. Bien sûr il s'en sort et en passant par les égouts finis par s'échapper.

La police peut débarquer dans le repaire de Ming mais celui est déjà parti pour l’Égypte, ne restent que des graines qui semblent bien anodines.

Pour ne pas changer c'est Tania qui renseigne Morane sur la résidence de son oncle au Caire. Pas une minute à perdre, Bob se met en route sans attendre de renforts.

Une fois de plus il se retrouve face à M. Ming, un vrai duel de western et l'Ombre Jaune tire le premier et Morane bascule dans le Nil sous les yeux de Ballantine qui jure de venger son ami à n'importe quel prix.

Rendez-vous le 31 mars.

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