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31 octobre 2014 5 31 /10 /octobre /2014 09:00

Combien d'heures à scruter la nuit,

En cherchant la lumière au loin,

À deviner ce qui s'enfuit,

En restant là, simple témoin.

 

Combien de temps à son chevet,

Surveillant un frémissement,

Espérant que fera effet

Ce tout nouveau médicament.

 

Combien de cris qui résonnèrent

Dans ces couloirs, dans mon esprit,

Comme si la mort était la mère,

Comme si elle m'avait tout appris.

 

 

Combien de pas dans la poussière,

Mais sans laisser aucune trace.

Puisque le temps est mort hier,

Il faut que le présent s'efface.

 

Combien de mots que j'ai pensé

Sans pouvoir entrouvrir la bouche,

Elle était là, je me taisais,

Restant silencieux, sur la touche.

 

Combien de pensées regrettables

Venues d'un univers étrange,

Où j'attendais, à une table

Que vienne un démon ou un ange.

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30 octobre 2014 4 30 /10 /octobre /2014 09:00

Combien de pages avant l'ultime,

Blanches encore avant de noircir,

De vers obscurs comme un abîme

Miroir de nuit montrant le pire ?

 

Combien de marches semblant monter,

Dans ce monde où tout est mirage,

Décors et mots qui sont dictés

Par un auteur du fond des âges.

 

Combien de jours à supporter,

Avant que ne tombe la nuit ?

Que le rideau soit abaissé

Et que le désespoir s'enfuit.

 

Combien de cauchemars encore

Fuyant mon âme intoxiquée

Par les relents d'un passé mort,

Comme un enfant décomposé ?

 

Combien de battements de cœur,

Sonnant le glas interminable

D'une vie abreuvée de peur

Jusqu'à haïr l'inestimable ?

 

Combien de mots à déverser,

Nourrissant l'illusion de voir

Plus loin que nul n'avait osé,

Plus loin que l'ombre de l'espoir.

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29 octobre 2014 3 29 /10 /octobre /2014 09:00

À Saïgon la vie parfois présente devant soi un chemin dont tout laisse à penser qu'il faudrait l'éviter, tous les signes sont là, les exemples dans le voisinages qui vous montrent que l'avenir d'un gangster n'est pas enviable, ou alors pas à votre niveau, votre père même qui vous ressasse que le mieux est ailleurs. Mais il meurt trop tôt et la leçon n'est pas comprise alors, elle ne lel sera que trop tard pour en faire son profit.

Est-ce que suivre un criminel qui rentre couvert de sang d'une expédition risquée en se disnt qu'il représente ce que nous connaitrons est le mieux ? Non, et pourtant !

Lam passa son enfance dans une ruelle où la vie est difficile, où il apprend qu'elle se résume à ''frapper ou être frappé, tuer ou être tué !'' pricipe simpliste mais qui lui donne une idée précise de ce qui l'attend. Il est amoureux de Huong, qui lui rend ses sentiments, malheureusement celle-ci sort avec un membre du gang de Tai Nhot, concurrent de celui de Cho Lon. Lam va donc se battre pour sa belle, l'enlever et s'enfuire pour aller chercher refuge auprès de son frère ainé, comme d'habitude, Hung, dont la femme est enceinte.

Les choses dans ce milieu ne se passent jamais simplement, tout est affaire de rapport de force, d'intimidation, de ''respect'', de formes, de peurs et de coups fourrés. Chacun attent que l'autre fasse une erreur en espérant qu'il ne sera pas le premier à en commettre une.

Même un gangster rêve d'une autre vie, surtout quand sa petite amie lui parle d'une existence loin de la violence, tranquille et heureuse.

Cette porte de sortie malheureusement va rester inaccessible. L'honneur se lave dans la violence, pas question de laisser sa petite amie partir comme ça, il faut réagir, prouver sa force, faire taire les bouches qui pourraient parler de celui qui n'a pas réagi.

Tout cela était prévisible, écrit depuis toujours sur la page racontant la vie de criminels dont la vie est simple. ''Frapper ou être frappé, tuer ou être tué !''

Huong n'est qu'un prétexte, celui qu'attendait le gang de Tai Nhot pour réclamer, pour paiement de l'honneur bafoué, le quartier de Cho Lon où il espère installer son trafic de drogue. Un prix trop élevé bien sûr. Comme si les choses pouvaient se régler autrement que par un combat à mort entre les deux clans jusqu'à la victoire finale d'un seul.

Huong n'a-t-elle pas séduit Lam sur ordre de son gang pour justifier l'attaque ? Le constat n'est pas pessimiste, il n'est que réaliste, c'est pire ! Les rouages du destin s'enclenchent, indifférent aux individus qu'il broie, au sang qui coule, aux cadavres qui, bientôt, seront remplacés. Les choses étaient ainsi, le sont toujours et le resteront jusqu'à ce qu'il n'en reste plus un debout.

Aucun espoir qu'il en aille autrement. Dans ces quartiers l'histoire s'écrit avec du sang mais les mots et les noms s'effacent vite pour être remplacés par d'autres qui connaîtrons le même sort. Cette encre là ne sèche pas, elle disparaît emportant dans l'oubli les victimes anonymes. Qu'importe, d'autres viendront !

Beaucoup de combats, de sang ; d'armes blanches et de larmes amères

Si tu survis ce soir que vas tu faire demain ? Demande Lam à un membre de son gang.

 

Et vous ?

 

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28 octobre 2014 2 28 /10 /octobre /2014 09:00
Une série à suivre à la loupe !
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27 octobre 2014 1 27 /10 /octobre /2014 09:00

 

C'était elle mais pas seulement,

L'apparence et les souvenirs,

Des bons et des mauvais moments,

Le meilleur ajouté au pire.

 

C'était sa voix avec une ombre,

Sa tête oscillait comme avant ;

Dans son regard un reflet sombre

Était étrange et inquiétant.

 

Comment dire non à son enfant ?

Debout devant soi sur le seuil,

Vous souriant comme auparavant,

Avant la douceur du cercueil.

 

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26 octobre 2014 7 26 /10 /octobre /2014 09:00

Contrairement à ce que l'on pourrait croire l'Atalante ne vient pas de l'inspiration de Jean Vigo mais du désir de son producteur, Jacques-Louis Nounez, de ne pas perdre d'argent. Le précédent film de Vigo, très personnel celui-ci n'ayant rencontré qu'un succès d'estime et fait perdre une fortune à son financeur.

Le pitch, comme on ne disait pas à l'époque, est on ne peut plus simple. L'histoire est des plus simple, c'est celle d'un couple. Jean et Juliette viennent de se marier, il est marinier, elle n'a jamais quitté sa campagne natale et dans cet union elle voit le moyen de quitter son milieu, de voyager... malheureusement la vie sur une péniche n'a rien d'excitante en soi, rien d'exotique ni d'aventureuse, elle est faite de travail et d'une monotonie qui n'est distraite que par les interventions du Père Jules qui, lui, eut une vie de bourlingueur et connut des péripéties qu'il aime à raconter à Juliette qui lui a tapé dans l’œil. Sans illusion !

La jeune mariée finit par ressentir le poids d'un quotidien loin de ce qu'elle espérait, aussi se laisse-t-elle séduire par un marchant ambulant qui lui parle de la ville, de ses lumières et promet de l'y emmener.

Comment dire non ?

Bref, le drame de la jalousie se profile.

Si une image vaut mille mots calculez combien il en faudrait pour décrire ce film qui en utilise 24 par seconde. Le scénario est une chose mais ce qu'en tire Louis Vigo est loin de ce qu'un autre réalisateur de son époque aurait filmé. Ici la vie est présente à chaque instant, l'émotion à chaque pensée, la sensation à chaque mouvement. Le cinéma se juge sur l'écran, même le petit, ce qui ne m'empêche pas d'évoquer les films que je regarde avec plus ou moins d'intérêt.

Magique et poétique sont des adjectifs souvent utilisés quand on ne sait pas trop quoi dire, ici pourtant ils conviennent idéalement.

Un film de commande donc, qui n'eut pas le succès escompté, loin de là, et connut un sombre cheminement avant de se voir reconnu. Vigo dut se battre contre la Gaumont pendant le tournage, et même après, durant le montage, la société cinématographique ayant dépêché un monteur pour imposer ses vues à un réalisateur qui fit ce qu'il put pour s'opposer aux ambitions mercantiles de la Gaumont. Vigo est épuisé, il se couche, finit par accepter un montage de Louis Chavance mais il est trop tard, il ne se relèvera pas, la septicémie va l'emporter, il a 29 ans.

Il fallut attendre le début des années 90 pour que cette version soit retrouvée dans les locaux du British Film Institute, sans doute pas celle voulu par le réalisation mais néanmoins entérinée par celui-ci. il arrive que la pellicule capture la vie, que le cinéma transcende celle-ci, Vigo prouva l'un et l'autre. Vous savez ce qui vous reste à faire.

Le regarder, ici.

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25 octobre 2014 6 25 /10 /octobre /2014 08:00

À 260 kilomètres de Trelew (Argentine) ont été mis au jour les fossiles des plus grands dinosaures jamais découvert. Ceux de 7 adultes dont le fémur mesure entre 2,20 et 2,40 mètres ; de la tête au bout de la queue chacun devait mesurer environ 40 mètres pour une hauteur de 20 m au garrot et un poids de près de 80 tonnes. Ces géants vivaient dans les forêts de Patagonie il y a une centaine de millions d'années. Il semblerait que l'endroit était propice à l'existence d'animaux de cette taille, le précédent record pour un dinosaure, l'Argentinosaurus, mesurait environ 35 m pour un poids de 73 tonnes, environs !

Jusqu'alors il semblait que des centaines de facteurs chimiques étaient indispensable à la formation d'un embryon, une expérience vient battre en brèche cette croyance puisque deux sortes seulement de molécules, responsables du développement des stuctures dos-ventre et tête-queue, injectés dans une masse de 200 cellules souches suffirent à permettre la ''naissance'' d'un embryon de poisson zèbre.

Quel intérêt direz-vous ? Celui de pouvoir, bientôt, fabriquer des cellules de cœur ou de foie pour régénérer ces organes. Pas question bien sûr d'imaginer qu'un animal entier puisse être ainsi fabriqué...

vous aimez à procrastiner ? Comme tout le monde n'est-ce pas, et bien cette tendance viendrait de nos lointains ancêtres qui, dans un environnement peu sûr, devaient se concentrer sur l'instant présent. Le monde a changé mais cette tendance est toujours présente, nous incitant à repousser les décisions aux conséquences les moints immédiates. Il n'est que de regarder nos politiciens pour en être convaincus.

Vous avez entendu parle du réchauffement climatique et de ses effets, dangereux pour la plupart. Parmi ceux-ci la fonte des glaciers en Antarctique est le plus immédiatement visible. Les données compilées de 40 années d'observations des plus grands glaciers de la mer d'Amundsen prouvent l'amincissement des plates-formes de glaces, lequel accélère leur fonte pour provoquer à brève échéance la disparition de cette partie de l'Antarctique, laquelle provoquerait une hausse du niveau des océans de plus de 1 mètres avec les conséquences que l'on imagine pour des populations vivant sur des terres ainsi promises à l'inondation.

Les fientes de fumeurs sont partout, le nombre de celles déposées hors des endroits qui leur sont dévolus dépasse les 4 500 milliards, ce qui correspond à des milliers de tonnes de produits toxiques qui, ainsi libérés, contaminent notre environnement.

Les cerfs ont de la mémoire semble-t-il, aujourd'hui encore tous évitent la zone entre la République tchèque et l'Allemagne où se trouvaient à l'époque de la guerre froide des clotures électrifiées disparues depuis 1989. apparemment les biches apprennent à leurs petits le souvenir de la dangerosité du lieu. Ceux-ci les transmettent à leur tour.

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24 octobre 2014 5 24 /10 /octobre /2014 07:57

Léon et Cléa se rencontrent entre deux portes. Lui se rend à une soirée chez un pote à lui, ou plutôt le pote d'un pote, mais une occasion de boire ne se refuse pas, et ce peut être l'opportunité d'une rencontre. Sur un malentendu... Vous connaissez la suite !

Elle ne pense qu'à se rendre aux toilettes, il faut dire qu'avec tout ce qu'elle a bu... il commence à la draguer, non sans lourdeur, ce qu'elle lui fait remarquer. Bref rien ne semble devoir se passer entre eux hors ce qui ressemble plus à un ring qu'au lieu propice à une rencontre.

Et pourtant ! C'est elle qui va renouer les fils d'un dialogue ressemblant plus à un duel qu'à un duo en lui donnant, ou faut-il dire en lui fourguant, son numéro. Pendant trois jours elle va se morfondre, regarder son smartphone sans que celui-ci sonne ou l'avertisse d'un message. N'y tenant plus elle envoie un texto, juste au moment où il s’apprêtait à le faire, écrit-il. Ainsi vont-ils communiquer par SMS jusqu'à ce qu'ils se souviennent qu'ils peuvent aussi le faire oralement.

Un premier rendez-vous, chacun découvre l'autre, lui est professeur de philosophie, ce que son comportement et son langage ne laissaient pas supposer, elle est avocate, et comme telle a la langue bien pendue. Chacun veut... mais sait-il ce qu'il veut, ce qu'il espère, ce qu'il redoute. Une rencontre n'est-ce pas l'opportunité de faire connaissance avec soi autant qu'avec l'autre ?

Entre conflits, mesquineries, engueulades et réconciliations sur l'oreiller. La vie du couple est passé au crible de l'humour et de la mauvaise foi. Alors que dans la réalité c'est souvent la seconde qui prime, sur une scène de théâtre tout est différent, les traits peuvent, et doivent, être grossis, les événements, caricaturés, le tout mené par deux comédiens qui donnent le meilleur d'eux même, dont, le soir où j'assistai à la représentation, l'auteur de la pièce : Emmanuel Vieilly, dont j'ai aussi vu il y a quelques mois ''Si je t'attrapes je te mort !'' le rôle féminin étant tenu, avec charme et conviction, 

 

par Amélie Robert que j'envisage déjà de retrouver, elle sur les planches et moi dans la salle, lors d'un prochain voyage à Paris. Ces rôles sont tenus en alternance par Florent Chesné et Dorothée Moreau.

Une petite salle permet une proximité avec les comédiens qu'une grande interdit.

Ambiance garantie et prix modique, ne vous privez pas si vous passez par la capitale d'aller à la Comédie des Boulevards.

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23 octobre 2014 4 23 /10 /octobre /2014 08:00

シリアルエクスペリメンツレインShiriaru ekusuperimentsu Rein 

Tout commence par une lycéenne, Chisa Yomoda, qui saute d'un immeuble comme si elle n'avait pas conscience de ce qu'elle est en train de faire. Quand Lain, lycéenne elle-aussi, arrive dans son établissement elle s'étonne de l'émotion autour d'elle, ce n'est qu'à cet instant qu'elle apprend le suicide de sa condisciple mais aussi que celle-ci a envoyé à d'autres élèves un e-mail. Lain Iwakura n'est pas à l'aise avec les ordinateurs aussi ignore-t-elle si elle en a reçu un ou non. Ce n'est qu'à son domicile qu'elle découvre qu'elle en a un elle aussi de Chisa qui lui explique qu'elle n'a quitté que son corps mais qu'elle n'est pas morte, raison pour laquelle l'envoi de ce message est possible et qu'il n'est pas une blague, elle lui explique que dieu est ici...

La jeune fille veut en savoir plus et demande à son père une nouvelle machine. Normal dit celui-ci, le monde est connecté, impossible de se passer d'ordinateur, appelé Navi, maintenant. Il ne faut pas avoir peur du réseau, du wired.

Mais Lain n'a pas peur, justement ! Elle est rêveuse, hallucinant peut-être, comme à cheval entre des mondes, un peu dans celui-ci mais voyant celui-là.

Une nouvelle drogue existe, l'Accela, un nanomécanisme influant la production d'hormones altérant la conscience et augmentant les capacités cérébrales avant qu'il ne soit détruit, laissant derrière lui l'envie de recommencer avec des effets forcément délétères.

Le nouveau navi, un Tachibana, de Lain arrive, si performant que son père dit qu'il pourrait l'utiliser pour lui. C'est une porte pour l'adolescente qui n'a plus qu'à la pousser. C'est facile et attirant, une envie et un piège.

Lain va devenir une experte du wired et en explorer des zones peu connues jusqu'à se demander si la frontière entre cet ailleurs et le réel est bien où elle semble l'être. Tout devient étrange et flou, que sont les souvenirs et la validité de images du passé ?

Être virtuel est-ce encore être ? La vision humaine de l'individu n'est-elle pas destinée à changer, à évoluer, à se transformer ? Bien sûr peu le supporteront mais la masse n'est-elle pas un cocon destiné à les protéger avant de tomber en poussière ?

 

J'imagine qu'un Serial Experimentation Lee donnerait une vision d'un enfer virtuel encore plus atroce que l'autre.

 

Le monde de demain !

 

Prometteur, non ?

Serial Experiment Lain
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22 octobre 2014 3 22 /10 /octobre /2014 07:08

La fin du service approche pour Bullock et Gordon, alors que ce dernier vient de mettre fin à une prise d'otage dans le commissariat par un individu demandant ses pilules et ayant, pour mieux se faire comprendre, pris en otage une jeune policière. Elle approche seulement, ils vont donc devoir se rendre sur les lieux d'un double homicide dans le quartier du cinéma.

Un couple vient d'être abattu sous les yeux de leur fils, tout indique qu'il s'agit d'un vol qui a mal tourné.

Le lieutenant Gordon va se présenter au jeune garçon puis lui demander comment il s'appelle alors que son coéquipier qui a reconnu les victimes essaie de faire comme s'il n'était pas là.

L'adolescent d'abord ne dit rien, il se présente ensuite :

Bruce, mon nom est Bruce Wayne !

Il va raconter ce qui s'est passé. Alors qu'ils sortaient du ciné en quête d'un taxi un homme est sorti de l'ombre, masqué, armé, avec des chaussures brillantes. Il a pris le portefeuille de son père, le collier de perle de sa mère, qui s’est brisé, alors que les perles rebondissaient sur le sol l'homme a tiré, une seule balle par victime !

Ce sont deux des personnes les plus influentes de Gotham qui viennent d'être abattus dans cette ruelle, c'est dire si les emmerdements qui s'annoncent promettent d'être à la hauteur.

Les plus cultivés d'entre vous auront reconnu le nom du jeune garçon et celui de la ville. Mais l'ombre de Batman est encore loin de se profiler dans les rues de la ville alors que l'enquête, et la série commence. C'est bien le chemin suivi par Bruce, sa métropole, la faune et les personnages que nous connaissons tous que nous allons suivre.

Bullock et Gordon vont enquêter, et pour le second qui est un petit nouveau les découvertes vont se suivre, se ressembler, et lui apparaître de moins en moins plaisantes. C'est que ce métier n'est pas pour les gens biens, n'est-ce pas ce que son coéquipier lui a dit en lui conseillant de se faire muter ?

Ce qui serait dommage. Dans un milieu pareil il ne risque pas de s'ennuyer. Il lui faudra apprendre à éviter les balles, à ne pas (trop) se salir, s'il veut tenir la promesse qu'il a fait au jeune Wayne de retrouver l'assassin de ses parents, quand à la cause réelle de leurs morts...

Il ne faudra pas longtemps pour qu'un suspect se dessine : Mario Pepper, un homme violent, capable de tout, ou presque. Quand les deux compères viendront l'arrêter il ne pourra se retenir de s'enfuir, pour se faire tuer, opportunément, par Bullock. L'arme et le collier seront retrouvés chez lui ! Tout semble pour le mieux dans le meilleur des mondes, si un doute ne se faisait rapidement jour. Une dénonciation et un autre coupable apparaît.

Toute vérité est-elle bonne à dire ? Les conséquences et le désordre engendré ne seraient-ils pas pires ? L'important n'est-il pas de préserver les apparences du moment que les braves gens dorment tranquilles, que les prisons soient pleines mais que les vraies coupables continuent leur business.

Pas de crime organisé sans ordre, dira Falcone, n'est-ce pas toujours vrai ?

Mario Pepper n'est pas l'assassin des Wayne, Gordon viendra l'avouer à Bruce sans que celui-ci en soit surpris.

Encore n'est-ce là que le premier épisode de Gotham et ne vous ai-je pas parlé de l'autre témoin du crime...

La partie peut s'engager, en attendant que la pièce la plus forte entre en jeu. Pour l'heure elle fait connaissance de l'obscurité !

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Bienvenue sur ce blog ! Vous y découvrirez mes goûts, et dégoûts parfois, dans un désordre qui me ressemble ; y partagerez mon état d'esprit au fil de son évolution, parfois noir, parfois seulement gris (c'est le moins pire que je puisse faire !) et si vous revenez c'est que vous avez trouvé ici quelque chose qui vous convenait et désirez en explorant mon domaine faire mieux connaissance avec les facettes les moins souriantes de votre personnalité.

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